Il y a à craindre dans cette longue attente du candidat de Benno Bokk Yaakaar. Macky Sall, habitué à provoquer des séismes dans sa coalition peut bien surprendre son monde. Fort dans l’art de déjouer les divinations et à anéantir les espoirs, le chef de l’Etat, fort de sa carte blanche pour désigner le candidat de BBY en 2024, peut bien provoquer une tempête dans sa coalition.
Dans une affaire intrigante de jeu politique, des candidats issus du centre et du nord du pays ont employé une stratégie controversée pour tenter de manipuler le président Macky Sall en leur faveur. Plus de 20 marabouts ont été importés dans le but de marabouter le chef de l'État, espérant ainsi orienter son choix en leur direction. Cependant, cette manœuvre soulève des interrogations quant à la pertinence de tels actes et met en lumière des considérations égoïstes plutôt que l'intérêt national.
En grève de la faim depuis plus d’une semaine, Ousmane Sonko a été évacué d’urgence à la clinique de la prison de S2bikotane, avant d’être évacué à l’Hôpital Principal de Dakar. Très faible, l’opposant ne compte cependant pas arrêter sa grève de la faim.
Coordonnateur de l’ex-parti Pastef à la Médina et membre de la direction de ladite organisation politique, Ousseynou Ly a été interpellé hier. Pour l’heure, aucune information relative aux raisons de son arrestation n’est encore connue.
Le député Oumar Cissé de Taxawu Sénégal a profité de son temps de parole ce samedi à l’Assemblée nationale pour appeler ses collègues à œuvrer pour une élection présidentielle inclusive où Ousmane Sonko, Karim Wade et Khalifa Sall vont participer.
Le député Yewwi a, considéré que le dialogue devrait être poursuivi au niveau de l’Assemblée afin de permettre à tout Sénégalais le désirant de participer à la prochaine présidentielle du 25 février 2024.
Le chroniqueur de Walftv, Sérigne Cheikh Bara Ndiaye est depuis vendredi au service de réanimation de l’hôpital Principal de Dakar. Son état de santé s’est dégradé à cause de la grève de la faim qu’il observe depuis son arrestation.
Chapeau: Aujourd'hui, Mme Aminata TOURE, ancienne Première Ministre, s'est rendue au Commissariat Spécial de Keur Ayib après avoir été bloquée lors de son déplacement pour le Ziar Annuel à Marsassoum.
Après trois retours de parquet, la responsable des jeunesses patriotes de Tambacounda est placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction du tribunal de Grande instance de Tambacounda.
Fatima Zahra Wagué a rejoint 20 de ses camarades de parti dont le coordonnateur départemental Abdou Mbacké Samba en prison.
Après Toussaint MANGA, Djamil SANÉ, c’est au tour du maire de Patte d’Oie de se retrouver dans l’œil du cyclone. En effet, interpellée hier, Maimouna DIEYE est accusée d’« appel à l’insurrection, actes de manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ».
Ainsi, elle a été placée en garde à vue et détenue dans les locaux de la Division des Investigations Criminelles (DIC) en attendant son déferrement devant le parquet.
Le journaliste sénégalais Pape Alé Niang, directeur du site d'information Dakarmatin, vient d'être placé sous mandat de dépôt. Un énième cri du cœur de Reporters sans frontières (RSF) dénonce « la persécution judiciaire d'un journaliste critique incarcéré pour la troisième fois en moins d'un an et appelle à sa libération immédiate ».
Sept personnes, des gros bras encagoulés ont jeté un cocktail molotov entre les jambes d'un chauffeur de bus TATA de la ligne 65 à Yarakh et plus précisément dans la zone appelée Kapa. Deux morts sont enregistrés sur le coup. Une fois le cocktail molotov jeté, ils ont quitté les lieux empruntant la passerelle pour rejoindre l’autre bord de la route. Le chauffeur qui s’est sauvé de sa cabine qui avait commencé à prendre feu se retrouve avec une jambe enflée et des blessures.
Dans une vidéo de 7 minutes publiée sur ses pages, Juan Branco a soldé ses comptes avec les autorités sénégalaises et françaises. L'avocat activement recherché par la police et la gendarmerie, est revenu sur les motifs de son séjour au Sénégal.
Poursuivi pour huit chefs d’accusation, le leader de Pastef Ousmane Sonko a été placé sous mandat de dépôt, hier, et acheminé à la Maison d’arrêt et de correction de Sébikotane. « Le Témoin » quotidien est convaincu qu’Ousmane Sonko sera le prisonnier politique le plus encombrant du régime finissant du président Macky Sall. Encombrant par sa taille politique, encombrant par sa cote de popularité et encombrant par ses ambitions à l’horizon 2024.
Remis en scelle au nom du dialogue national, après les contraintes liées au code électoral à la suite de leur déboires judiciaires, Khalifa Sall tout comme Karim Wade vont pouvoir se représenter pour briguer le suffrage des Sénégalais. C’est ainsi, dans le même sillage Barthélémy Dias, a appelé à l’endroit ses amis socialistes à se retrouver autour de la candidature de Khalifa Ababacar Sall à l’élection présidentielle de février 2024.
Avec le désistement de Macky, le Ps, l’Afp, le Pds seront convoités par ses anciens responsables, qui ont toujours été pressentis comme les futurs héritiers. Sur la route de 2024, Khalifa, Gackou et Idy vont vouloir faire main basse sur l’électorat de leurs anciens partis, qui ne sont pas prêts à aller à cette élection à cause du délai très court.
Ce jeudi, Ousmane Sonko a accordé un entretien en visioconférence à France 24. L’occasion pour le leader de Pastef de réagir sur le sujet qui fait l’actualité ces derniers jours : la décision de Macky Sall de ne pas se présenter pour la Présidentielle de 2024. A la question de savoir s’il est ouvert à une discussion avec Macky Sall autour d’une table pour apaiser la tension, le leader de Pastef n’a pas fermé la porte, non sans fixer de conditions.
La détérioration de la situation humanitaire et sécuritaire en République démocratique du Congo a conduit à la tenue en Angola du sommet quadripartite des chefs d'État et de gouvernement africains sur la pacification de l'Est de la RD Congo le 27 juin 2023.