Comme prévu, les avocats de Ousmane Sonko ont été reçus, ce vendredi, au Haut-commissariat des Nations Unies sur les droits de l’humains. Au terme de l’audience, Juan Branco a fait le point.
«Mon confrère Larifou a commencé à parler de la situation de Ousmane Sonko, l’urgence à laquelle il est confronté et la nécessité d’intervenir auprès des autorités pour mettre fin à cette persécution inacceptable. Et ont a détaillé l’ensemble des autres éléments», a déclaré Juan Branco, devant les caméras, informe iGFM.
Bras droit de Khalifa Sall, Barthélémy Dias a apporté, hier, des précisions sur les accusations portées contre la coalition Taxawu Senegaal. Un prétexte saisi par l’édile de la capitale sénégalaise pour tirer sur le Pastef et les autres formations de Yewwi.
Face à la situation politique que traverse le Sénégal, ces dernières années, avec récemment l’arrestation et la détention de l’avocat activiste français Juan Branco, les avis sont partagés.
Moustapha Ba, estime que son arrestation peut causer des ennuis à l’État du Sénégal les prochaines années.
L’avocat franco-espagnol, défenseur de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, a été brièvement détenu à Dakar, inculpé pour attentat, complot, diffusion de fausses nouvelles et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.
En grève de la faim depuis plus d’une semaine, Ousmane Sonko a été évacué d’urgence à la clinique de la prison de S2bikotane, avant d’être évacué à l’Hôpital Principal de Dakar. Très faible, l’opposant ne compte cependant pas arrêter sa grève de la faim.
Dans un communiqué publié sur le réseau social tweeter quelques heures après la confirmation de l’arrestation par les autorités mauritaniennes et la décision d’extrader au Sénégal, les avocats de Me Branco sont montés au créneau pour dénoncer cette décision. « Aucun avocat ne devrait être inquiété en raison de l’exercice de sa profession, ou qu’il soit dans le monde et qui que soit son client. Il en va de la sauvegarde des droits de la défense. La remise en liberté de notre confrère Juan Branco s’impose ! », ont martelé Me François Gibault, Me Luc Brosselet, Me Alexandre Ursulet et Me Robin Binsard.
Le député Oumar Cissé de Taxawu Sénégal a profité de son temps de parole ce samedi à l’Assemblée nationale pour appeler ses collègues à œuvrer pour une élection présidentielle inclusive où Ousmane Sonko, Karim Wade et Khalifa Sall vont participer.
Le député Yewwi a, considéré que le dialogue devrait être poursuivi au niveau de l’Assemblée afin de permettre à tout Sénégalais le désirant de participer à la prochaine présidentielle du 25 février 2024.
Les femmes de Kataba 1 bloquent la route nationale RN5, en demandant la libération inconditionnelle d'Ousmane Sonko, leader de Pastef. Ces dernières, très frustrées, ont plongé la région dans une crise frontalière. Ce blocage, empêchant la circulation vers différentes destinations, dont Diouloulou, Kafountine, Bignona et la région de Ziguinchor, soulève des préoccupations croissantes, quant à son impact sur la vie quotidienne et l'économie de la région.
Dans une affaire qui suscite de nombreuses interrogations, Juan Paulo Lopez BRANCO, visé par un mandat d'arrêt international émis par le Juge d'instruction du 2e cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar (TGID), se montre énigmatique et résiste à toute coopération depuis son arrestation.
Sept personnes, des gros bras encagoulés ont jeté un cocktail molotov entre les jambes d'un chauffeur de bus TATA de la ligne 65 à Yarakh et plus précisément dans la zone appelée Kapa. Deux morts sont enregistrés sur le coup. Une fois le cocktail molotov jeté, ils ont quitté les lieux empruntant la passerelle pour rejoindre l’autre bord de la route. Le chauffeur qui s’est sauvé de sa cabine qui avait commencé à prendre feu se retrouve avec une jambe enflée et des blessures.
Dans une vidéo de 7 minutes publiée sur ses pages, Juan Branco a soldé ses comptes avec les autorités sénégalaises et françaises. L'avocat activement recherché par la police et la gendarmerie, est revenu sur les motifs de son séjour au Sénégal.
L'avocat français Juan Branco est actuellement recherché par la justice sénégalaise. Il fait partie de la défense de l'opposant Ousmane Sonko. Sous le coup d'un mandat d'arrêt international depuis le 14 juillet, il a fait une apparition surprise ce dimanche 30 juillet et demeure depuis introuvable.
Un homme nommé Bara Ba est décédé lundi à Pikine à la suite des manifestations ayant suivi le placement sous mandat de dépôt de Ousmane Sonko. L’autopsie de sa dépouille est programmée ce mercredi, selon Libération. Il s’agit d’une étape importante de l’enquête ouverte pour faire la lumière sur les causes du décès.
Bara Ba est présenté en militant de Pastef. Il aurait succombé à ses blessures causées par une balle réelle.
Les avocats du leader du PASTEF, qui sont en train de faire face à la presse, ont étalé leur surprise à l’arrivée dans la salle de leur confrère français Juan Branco.
En effet, ce dernier qui a fait le déplacement au Sénégal indique être à Dakar pour prêter main forte à ses confrères. Mais, surtout, affirme-t-il, pour dire au Procureur : « nous n’avons pas peur ».
Poursuivi pour huit chefs d’accusation, le leader de Pastef Ousmane Sonko a été placé sous mandat de dépôt, hier, et acheminé à la Maison d’arrêt et de correction de Sébikotane. « Le Témoin » quotidien est convaincu qu’Ousmane Sonko sera le prisonnier politique le plus encombrant du régime finissant du président Macky Sall. Encombrant par sa taille politique, encombrant par sa cote de popularité et encombrant par ses ambitions à l’horizon 2024.
Deux personnes ont été tuées lundi dans le sud du Sénégal lors de manifestations à la suite du placement en détention d'Ousmane Sonko, opposant au président Macky Sall, inculpé pour divers délits.
Le Sénégal s'embrase à nouveau. Deux personnes ont été tuées, lundi 31 juillet, dans le sud du pays, selon le ministère de l'Intérieur sénégalais, lors de manifestations déclenchées à la suite de l'inculpation et du placement en détention d'Ousmane Sonko.
Ce jeudi, Ousmane Sonko a accordé un entretien en visioconférence à France 24. L’occasion pour le leader de Pastef de réagir sur le sujet qui fait l’actualité ces derniers jours : la décision de Macky Sall de ne pas se présenter pour la Présidentielle de 2024. A la question de savoir s’il est ouvert à une discussion avec Macky Sall autour d’une table pour apaiser la tension, le leader de Pastef n’a pas fermé la porte, non sans fixer de conditions.
L’ancien président du groupe parlementaire de la majorité lors de la 12ème législature soutient le leader de Pastef. Moustapha Diakhaté malgré son désaccord contre la politique d’Ousmane Sonko se dit outré contre le blocus imposé au domicile du leader de Pastef par l’autorité.