Comme prévu, les avocats de Ousmane Sonko ont été reçus, ce vendredi, au Haut-commissariat des Nations Unies sur les droits de l’humains. Au terme de l’audience, Juan Branco a fait le point.
«Mon confrère Larifou a commencé à parler de la situation de Ousmane Sonko, l’urgence à laquelle il est confronté et la nécessité d’intervenir auprès des autorités pour mettre fin à cette persécution inacceptable. Et ont a détaillé l’ensemble des autres éléments», a déclaré Juan Branco, devant les caméras, informe iGFM.
Il y a à craindre dans cette longue attente du candidat de Benno Bokk Yaakaar. Macky Sall, habitué à provoquer des séismes dans sa coalition peut bien surprendre son monde. Fort dans l’art de déjouer les divinations et à anéantir les espoirs, le chef de l’Etat, fort de sa carte blanche pour désigner le candidat de BBY en 2024, peut bien provoquer une tempête dans sa coalition.
Dans une affaire intrigante de jeu politique, des candidats issus du centre et du nord du pays ont employé une stratégie controversée pour tenter de manipuler le président Macky Sall en leur faveur. Plus de 20 marabouts ont été importés dans le but de marabouter le chef de l'État, espérant ainsi orienter son choix en leur direction. Cependant, cette manœuvre soulève des interrogations quant à la pertinence de tels actes et met en lumière des considérations égoïstes plutôt que l'intérêt national.
Les femmes de Kataba 1 bloquent la route nationale RN5, en demandant la libération inconditionnelle d'Ousmane Sonko, leader de Pastef. Ces dernières, très frustrées, ont plongé la région dans une crise frontalière. Ce blocage, empêchant la circulation vers différentes destinations, dont Diouloulou, Kafountine, Bignona et la région de Ziguinchor, soulève des préoccupations croissantes, quant à son impact sur la vie quotidienne et l'économie de la région.
Chapeau: Aujourd'hui, Mme Aminata TOURE, ancienne Première Ministre, s'est rendue au Commissariat Spécial de Keur Ayib après avoir été bloquée lors de son déplacement pour le Ziar Annuel à Marsassoum.
C'est tard dans la nuit du jeudi 3 Août 2023 aux environs de 00h que les éléments de la BIP et du GIGN ont usé de la force pour venir cueillir le maire Alpha Bocar Khouma à son domicile en défonçant la porte de sa maison. Le maire , se trouvant seul avec sa famille a été arrêté puis emmené vers une destination inconnue. Pour le moment, les motifs de cette arrestation ne sont pas connus.
La population de Keur Ndiaye Lô a manifesté durant toute la nuit en brûlant des pneus et en barrant la route .
Le journaliste sénégalais Pape Alé Niang, directeur du site d'information Dakarmatin, vient d'être placé sous mandat de dépôt. Un énième cri du cœur de Reporters sans frontières (RSF) dénonce « la persécution judiciaire d'un journaliste critique incarcéré pour la troisième fois en moins d'un an et appelle à sa libération immédiate ».
Deux personnes ont été tuées lundi dans le sud du Sénégal lors de manifestations à la suite du placement en détention d'Ousmane Sonko, opposant au président Macky Sall, inculpé pour divers délits.
Le Sénégal s'embrase à nouveau. Deux personnes ont été tuées, lundi 31 juillet, dans le sud du pays, selon le ministère de l'Intérieur sénégalais, lors de manifestations déclenchées à la suite de l'inculpation et du placement en détention d'Ousmane Sonko.
Remis en scelle au nom du dialogue national, après les contraintes liées au code électoral à la suite de leur déboires judiciaires, Khalifa Sall tout comme Karim Wade vont pouvoir se représenter pour briguer le suffrage des Sénégalais. C’est ainsi, dans le même sillage Barthélémy Dias, a appelé à l’endroit ses amis socialistes à se retrouver autour de la candidature de Khalifa Ababacar Sall à l’élection présidentielle de février 2024.
Avec le désistement de Macky, le Ps, l’Afp, le Pds seront convoités par ses anciens responsables, qui ont toujours été pressentis comme les futurs héritiers. Sur la route de 2024, Khalifa, Gackou et Idy vont vouloir faire main basse sur l’électorat de leurs anciens partis, qui ne sont pas prêts à aller à cette élection à cause du délai très court.
Ce jeudi, Ousmane Sonko a accordé un entretien en visioconférence à France 24. L’occasion pour le leader de Pastef de réagir sur le sujet qui fait l’actualité ces derniers jours : la décision de Macky Sall de ne pas se présenter pour la Présidentielle de 2024. A la question de savoir s’il est ouvert à une discussion avec Macky Sall autour d’une table pour apaiser la tension, le leader de Pastef n’a pas fermé la porte, non sans fixer de conditions.
L’ancien président du groupe parlementaire de la majorité lors de la 12ème législature soutient le leader de Pastef. Moustapha Diakhaté malgré son désaccord contre la politique d’Ousmane Sonko se dit outré contre le blocus imposé au domicile du leader de Pastef par l’autorité.
Dans un communiqué ce mardi, l’Alliance pour la République a adressé ses félicitations émues au président de la République Macky Sall après sa prise de décision de ne pas se présenter en 2024 pour la présidentielle. L’Apr dans un communiqué a salué cette décision mûrement et longuement réfléchie, qui confirme son sens élevé de la responsabilité et du respect de la parole.
Au lendemain du discours du président sénégalais Macky Sall, lundi 3 juillet, annonçant qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession à la prochaine élection présidentielle, beaucoup de questions restent en suspens. Personne n’a été mis en avant par le camp présidentiel, et la coalition Benno Bokk Yaakar devra trouver un dauphin en moins de huit mois.
Yewwi Askan Wi prend acte de la déclaration de non candidature de Macky Sall à l’élection de février 2024.
« Nous prenons acte de cette décision qui n’était rien d’autre qu’une décision qui était attendue de lui en tant que chef de l’Etat à savoir respecter les dispositions de la Constitution » a déclaré Déthié Fall lors du point de presse de la coalition.
Dans son message , ce 27 juin, Ousmane Sonko a livré un discours transversal faisant appel aux traditions et valeurs religieuses de l’Islam et du Christianisme. Évoquant des figures prophétiques, le président du Pastef -
La politique dans notre pays mérite d’être complètement revue, le personnel politique sans métier réformé, les pratiques corruptrices bannies, les mentalités de duperie éradiquées, les attentes revues sérieusement à la hausse.
Tout comme Khalifa Sall, la déchéance du candidat du Parti démocratique sénégalais est permanente selon la loi électorale. Il pourrait toutefois saisir le Conseil constitutionnel, par le biais de l’exception d’inconstitutionnalité.
Dans l’une de ses plus célèbres cris de guerre, le président de l’Alliance pour la République (Apr) se proposait de « réduire l’opposition à sa plus simple expression ». En dix ans de règne, Macky Sall n’a pas manqué de réussite dans ses efforts. La preuve par les différentes figures politiques qui peuplent actuellement la coalition Benno Bokk Yakaar. Cette ambition bute cependant sur un gros obstacle : le Pastef !
Dirigeante d’entreprise, ancienne ministre française de la Diversité et de l’égalité des chances, Élisabeth Moreno donne sa vision de l’avenir des diasporas et de l’Afrique. Elle juge que la France ne s’appuie pas assez sur ses ressources humaines.