Suite aux informations parues dans la presse concernant la prorogation ou le renouvellement des passeports diplomatiques qui avaient été délivrés à des citoyens sénégalais en raison de leurs fonctions officielles antérieures, le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, dans un communiqué, tient à rappeler que le décret n°78-021 du 6 janvier 1978 portant description du passeport diplomatique et du passeport de service et fixant les modalités de leur établissement, modifié par le décret n°90-934 du 27 août 1990, énumère expressément les personnalités pouvant prétendre auxdits documents.
Depuis quelques temps, l’opinion publique est agitée par un débat plus ou moins passionné, sur la problématique des stratégies électorales en direction des Locales du 16 Mars 2014. Chacun y est allé de ses considérations plus ou moins savantes, en oubliant de prendre en compte les enjeux de ces élections, qui, seules, indépendamment de la volonté et des désirs des différents protagonistes, déterminent de la pertinence et de l’adéquation des stratégies électorales. L’on peut considérer que ces enjeux sont essentiellement de deux ordres : politique et institutionnel.
I) Les enjeux politiques.
Selon le quotidien l’As, Ndèye Khady Guèye continue d’affirmer que le PM Abdoul Mbaye est derrière son inculpation. Alors directrice du Fonds de promotion économique (Fpe), elle aurait refusé, à l’époque, de financer l’entreprise d’Abdoul Mbaye ou lui céder des actions dans la Société africaine de participation (Sap). Elle indexe également le Président Macky Sall dans cette affaire.
Pour leur deuxième année d’existence les "Y’a en marristes" ont fait face à la presse hier dans un hôtel dakarois. Faisant le bilan de leur jeune existence Malal Talla "Fou malade" et les siens ont exigé du Président de la République, Macky Sall, le respect de ses promesses de campagne.
Pour éviter d’aller à Rebeuss Karim Wade cherche à contrôler le Pds pour devenir chef de l’opposition
En difficulté, ces derniers mois, le fils ainé du président Abdoulaye Wade est dans une dynamique de contrôler le Pds. La marche que Karim Wade avait improvisée, avant-hier et son clin d’œil envers les familles religieuses sont les premiers actes d’un long périple de conquête du Pds et, ainsi, devenir le chef de l’opposition sénégalaise.
ABDOU DIOUF A PROPULSÉ LA FRANCOPHONIE SUR LA SCÈNE MONDIALE (DIPLOMATE)
M. Kélounguélé a été désigné par son pays la République démocratique du Congo (RDC) comme le nouveau président du GRAF, une structure née en juin 2008 sur l’initiative notamment de l’Ambassade de la Suisse à Dakar.
Etre la benjamine de l'Assemblée nationale ne fait pas d'elle une personne particulière. Son statut de député à 31 ans ne lui est pas, non plus, monté à la tête, du moins pour le moment. Elle, c'est Fatou Thiam, responsable des jeunesses féminines du Pds.
Député depuis quelques mois, elle vit sa vie comme elle a toujours fait. Elle continue d'aller en boite et dit fréquenter les mêmes amis. Mais elle n'a pas encore trouvé chaussure à son pied même si elle ne nie pas avoir un prétendant.
Des électeurs sénégalais en sont arrivés à se demander s’ils avaient raison de «chasser» Wade du pouvoir, le 25 mars dernier. Car, dans leur expérience politique, mais aussi leur vécu au pays de Léopold Sédar Senghor, ils disent n’avoir jamais vu un chef d’Etat attendre si longtemps pour imposer sa marque. De leur point de vue, «Macky Sall n’était pas préparé à assumer la plus haute responsabilité de l’Etat».
Les perspectives des élections sénatoriales ont précipité le Sénégal dans une zone de turbulence, qui risque de le paralyser, et de créer les conditions de déstabilisation, pouvant générer des troubles graves et même, la chute, dans la violence, du nouveau pouvoir de « Bennoo BOK YAKAAR » (BBY), présidé par Macky Sall.
La réponse d’El Pistolero ne s’est pas fait attendre. Très prompt à dégainer, Moustapha Cissé Lô a tiré à boulets rouges sur le porte-parole du président Macky Sall qui a trouvé sa sortie fustigeant le choix de Moustapha Niasse comme tête de liste de BBY inacceptable. Selon Cissé Lô, Abel Abel Thiam n’est qu’un opportuniste qui avait fui l’Apr.
Les candidats à la présidentielle du 26 février commencent à s’afficher, au troisième jour de la campagne électorale ; dans ce concours de la plus belle image, Wade bon dernier doit franchir le Rubicon en « enlevant le bas ».
Je suis outré, dégoûté par le rejet des candidatures indépendantes… En même temps, j’en veux aux candidats ayant usé de cette procédure de ne pas avoir tiré les leçons de l’« Irrecevabilité » de la candidature de Yoro FALL en 2007… Il avait déposé 11000 signatures, après avoir trié l’ensemble des signatures collectées (13000)… Ses signatures ne souffraient d’aucune anomalie ou irrégularité… Il a été invalidé malgré toutes ses précautions avec le même motif : « INSUFFISANCE » !!! Le recours n’a jamais servi avec eux… Attitude de « Sage »… ( voir mon livre bilan de la présidentielle 2007 « Les candidats indépendants : poissons pilotes ou chasseurs de mammouths ? »)