Dans le contexte négro-africain où il est courant de superposer au réel phénoménal perçu des entités imaginaires, invisibles ou cachées, les chiffres et les dates renferment des secrets mystiques que l’analyse scientifique ne conçoit pas. C’est ainsi que le pourcentage de 60 %, qui n’avait pas porté chance à Abdou Diouf en 2000, fait partie de ceux que les dieux de Sine conjureraient.