Au moment où les paysans sénégalais vivent dans la misère et l’incertitude, la femme du président de le République, madame Marième Faye Sall rend visite à des villageois sénégalais en emportant avec elle son sac de grande marque Chanel affiché à plus 2 millions de francs CFA! Les goûts pour le luxe de la première dame du Sénégal ne sont pas une surprise.
La Première Dame Marième Faye Sall, a encore mis les petits plats dans les grands, à l'occasion de son traditionnel dîner de gala offert aux épouses des diplomates accrédités au Sénégal, aux âmes sœurs des ministres et directeurs généraux.
Les Premières Dames de Mauritanie, du Mali et du Niger ont été les invitées de marque, cette année. Un bel esprit pour magnifier l'unité de ces différents pays. Elles ont souhaité que ces retrouvailles puissent se faire plus souvent. Mme Marième Faye Sall s'est particulièrement félicitée de la présence de «ses soeurs » et a rendu hommage aux doyennes Annette Mbaye d'Erneville et Maïmouna Kane qui n'ont pu faire le déplacement cette fois-ci.
Le coordonnateur du projet sur le mobilier national a offert une belle exposition sur le "made in Sénégal" dans le domaine de l'artisanat, mais aussi dans le domaine culinaire avec l'Institut de la technologie alimentaire, qui a présenté des mets et des jus locaux. La soirée a été animée par les artisites Pape Ndiaye Thiopet et Youssou Ndour.
Si on devait décerner une palme de la Première Dame du Sénégal la plus surmédiatisée, Marième Faye Sall l'emporterait incontestablement sur les autres. Et, ce n'est pas toujours en bien. Ce qui fait dire à tous ceux qui ont eu l'occasion de l'approcher, à l'instar de Nafissatou Diop Cissé, que les gens se trompent sur son compte.
"Pour la première fois, on a une jeune Première Dame très croyante, une Sénégalaise pure souche.
Me Seydou Diagne, l'un des avocats de Karim Wade, veut voir la Première dame, Marième Faye Sall, comparaître devant la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei). Lui et ses collègues veulent que l'épouse du chef de l'Etat vienne témoigner sur la société Blackpearl Finance pour éclairer la lanterne de la Cour sur son appartenance ou non à Karim Wade.
Dans une enquête minutieusement menée par nos confrères d’Actunet dont le responsable a été menacé de mort, Il est fait mention d’une surfacturation de plus de 63 millions CFA. La première Dame serait victime d’un cas de détournement.
Les confrères d’Actunet dévoile : « Dans ce que nous vous proposons, vous verrez les détails des dépenses effectuées par la fondation qui avait déplacé puis installé des populations au Cices à l’hivernage 2012. Ce document présente l’ensemble des dépenses effectuées. Plus de 60 millions de FCFA ont été officiellement dépensés.
Madame la première Dame, l’auteur du bestseller « les hommes viennent de mars et les femmes de Vénus » John Gray ne vous a pas certainement rencontré, sinon, elle reformulera sa fameuse boutade « Le masculin est dans l’action, le féminin est dans l’être ». Vous alliez parfaitement l’être et l’action !
A la femme qui a permis à ma petite Marguerite de se soigner en Tunisie et de nous revenir guérie, goûtant désormais aux délices de la vie, reconnaissante à jamais pour sa bienfaitrice, merci de nous avoir ouvert votre cœur, de nous avoir tendu vos mains généreuses. Merci simplement Madame la première dame.
Je me suis réveillée ce mardi matin avec un pli de quotidiens aux titres rivalisant de fougue pour qualifier ce qu’ils assimilent à une bourde.
La veille en effet, le ministre Mbagnick Ndiaye a eu la “maladresse” ou la “galanterie”, de rendre un hommage national à la Première Dame du Sénégal, Mme Marième Faye Sall, pour un supposé coup de pouce que cette dernière lui aurait donné dans son ascension à la “dignité” ministérielle.
Vu le lieu d’où le message est parti, l’effet médiatisation est tout garanti. Au Sénégal, la passation de service n’est pas seulement un acte administratif de transmission de témoin et de dossiers.
« Il est temps que le Sénégal rende un hommage national à sa première dame. Nous devons oser le faire, car en plus d’être accueillante et avenante, Marième s’est faite la voix de tous ces malheureux « qui n’ont point de bouche » et le relais de leurs misères ; qui plus est, la fondation qu’elle manage de main de maître ne cesse d’encourager les sénégalais à devenir de véritables acteurs de l’émergence, mais aussi de leur propre réussite ». Lorsque je publiais ces lignes dans un article paru dans la presse du vendredi 28 juin 2013 (il y a plus d’un an), je ne m’attendais pas à ce que ce vœu profond et sincère fasse son chemin dans l’esprit de certains piliers de la République.
Objet : Prière de vous tenir éloignée des affaires de notre Etat
Madame la Première Dame,
Le ministre Mbagnick Ndiaye a révélé que les ministres vous doivent leurs nominations dans le gouvernement de la République du Sénégal. Prière de nous rassurer que cela n’est pas vrai, que ce ministre s’est trompé ! Car si cela est avéré, ça serait une catastrophe absolue car la gestion d’un Etat digne de ce nom ne peut souffrir d’un tel amateurisme.
Marième Faye Sall est hospitalière. Ce ne sont pas les journalistes qui étaient au palais présidentiel hier pour à l’occasion de la publication du nouveau gouvernement qui le démentiront. Ces derniers ont eu droit à un « Ndogou » offert par la Première Dame, Marième Faye Sall.
Depuis le début du Ramadan, La Première Dame, Mme Marième Faye Sall, mobilise chaque jour un convoi d’une dizaine de voitures Pick up chargées d’un peu plus de deux milles ‘’kit Ndogou’’, de boites de ‘’fondé’’ (bouillie de mil) et d’aliments divers en direction de certains quartiers de Dakar et de la banlieue.
Ces ‘’Ndogou’’ du Cœur font la joie de beaucoup de jeûneurs, tels les fidèles réunis dans les mosquées, les mendiants et autres démunis qui occupent les rues aux heures de coupure.
La coalition Benno book yaakaar (Bby) de Saint-Louis peu se targuer d'avoir un soutien de taille. La Première Dame était à ses côtés pour le démarrage de la campagne électorale. Figurez-vous que Marième Faye Sall, comme on dit dans le langage des danseuses professionnelles, "toc na sabar bi" (elle a cassé la baraque). A Ndiolofène où elle habite avec sa famille et ses amies d'enfance, l'épouse du Président Macky Sall ne pouvait pas laisser passer "le niary goro" qui était entamé par les batteurs, sans se lancer dans le cercle réservé aux danseuses.