Il s’appelle El Hadj Seck Ndiaye Wade et il est présentement Directeur des Transports terrestres au ministère du Transport. Son statut de haut cadre de l’administration pourrait être remis en cause par l’affaire pour laquelle il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction du Tribunal régional de Louga.

La dégradation de la santé d’Oustaz Taïb Socé, dans les liens de la détention depuis fin août dernier, inquiète le Forum du Justiciable sénégalais qui sollicite sa mise en liberté provisoire pour des raisons médicales. «…Le Forum du Justiciable estime qu’il est urgent que la liberté provisoire lui (Taïb Socé, ndlr) soit accordée pour des raisons médicales.

Au lendemain de Pâques, l‘Archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, est allé prêcher la bonne parole à la prison de Rebeus. Sur place, convaincu que les pensionnaires ont besoin d’être soutenus dans l’espérance, Mgr Benjamin Ndiaye a demandé aux détenus de cette maison d’arrêt d’être aussi conscients des fautes qu’ils ont commises dans la société, non sans attirer leur attention sur le fait «qu’il y a une vie après la prison».

Le Référendum sur les réformes constitutionnelles a suscité beaucoup d’incompréhensions et d’appréhensions par rapport à l’intégrité morale de la plupart des chefs religieux qui se sont prononcés favorablement, alors que le débat sur la laïcité était entrain de faire des avancées notoires ; sans compter les suspicions à propos de l'homosexualité. 

Depuis quelques années, débutant par une sous-alimentation et des coupures intempestives de plusieurs jours et récurrentes, la pénurie d'eau est considérée comme un problème majeur en Tunisie. La situation est devenue aujourd'hui intenable et intolérable pour les citoyens. Elle varie selon plusieurs facteurs tels que la région et la période de l'année.

Le droit à l’eau est un droit constitutionnel. « Le droit à l’eau est garanti. La préservation de l’eau et son utilisation rationnelle sont un devoir pour l’État et la société. » Article 44,  La nouvelle Constitution tunisienne, promulguée le 27 janvier 2014.

Les populations de la ville sainte de Touba ont dit NON au projet de réformes de la constitution, ce dimanche. Elles ont voté majoritairement pour le NON dans le plus grand centre de vote situé à Ndame. Généralement pris pour centre de vote test dont les résultats reflètent le pouls électoral de la ville, le centre affiche dans tous ses bureaux des résultats favorables au NON avec des écarts très poussés. 

DAKAR : 

– Hann Bel Air : Le Oui triomphe à l’école Doudou Bathie 

–Grand-Yoff : Aminata Touré gagne dans son bureau de vote Oui 108 Non 104 

C'est avec un résultat de 3222 voix pour le Non contre 2473 pour le Oui que l'opposition a gagné la commune de Dagana. Il faut noter cependant que cette victoire a été acquise grâce à l'aide précieuse de Aïda Ndionge qui, en bonne "Walo-walo" a donné un coup de main à son "Thiamègne" tout en maintenant la cadence à son appel à voter Non a été entendu, comme d'habitude. 

Ahmed Khalifa Niass parle de son ex-epouse Yaye Fatou : « Ce que je pense de mon divorce... »

L’un des plus anciens homosexuels du Sénégal, Maniang Kassé s’est complètement transformé en femme. L’homosexuel qui vit actuellement à Paris est sur cette image, comme à son habitude, habillée comme une femme. D’aucuns disent qu’il (elle) aurait subi une opération pour changer définitivement de sexe...

Alors que les hommes politiques sont obsédés par tout ce qui touche aux élections, les sénégalais qui ont mûri et éclairés sur leur religion sont, actuellement, surtout préoccupés par  ce qui touche aux moeurs et tiennent à ce que leurs convictions religieuses soient prises en compte dans la gouvernance de l’État ; hélas, ce qui est actuellement irréalisable, du fait de la laïcité de l’Etat et des pressions intolérables des lobbies franc-maçonniques et homosexuels conditionnant leur collaboration (investissements financiers) à la conformité avec les ‘’droits humains’’ qui englobent ceux des homosexuels et d’autres ‘‘nouveaux droits’’. Et au vu de tout cela, il est légitime, pour les croyants que nous sommes, d’avoir des appréhensions et de s’interroger sur d’éventuels non-dits de ces réformes constitutionnelles ; ce d’autant qu’une des déclarations du Président Macky SALL sur l'homosexualité étonne et inquiète légitimement.

D’ici la clôture de la campagne référendaire prévue pour vendredi 18 Mars à minuit, je me propose de soumettre une chronique journalière tendant à démontrer la différence d’approche entre l’avant projet de Constitution de la CNRI et le projet de révision constitutionnelle du président Macky SALL.

Si le premier est un TOUT, le second n’est qu’une bribe tirée intentionnellement du TOUT.

Pour cette première chronique, la comparaison va porter sur le point tant prisé par les partisans de la révision et brandi par certains sénégalais de la diaspora.

Le maire de Dakar a clôturé sa campagne pour le référendum à Khar Yalla. Un meeting qui a enregistré, d'après Le Populaire, la présence d'autres leaders du Front du "Non" tels que Oumar Sarr du Pds, Pape Diop de Bokk Gis Gis, Mansour Sy Djamil de Bëss du ñakk, Idrissa Seck de Rewmi. Une occasion pour Khalifa Sall de s'adresser une dernière fois à ses militants.

On dénombre plus de 5 concours qui célèbrent la beauté et l’intelligence de la femme camerounaise.

Plus qu’un simple concours de beauté, l’élection miss Cameroun est devenue le rêve de nombreuses jeunes filles originaires du pays de Roger Miller. Du Cameroun jusqu’en Europe en passant par les Etats unis d’Amérique et d’autres pays du continent noir, les concours de beauté célébrant la beauté camerounaise sont devenus des évènements qui mobilisent une multitude de candidates à la recherche de la reconnaissance.

« L’émotion est nègre ; la raison hellène »  a dit Senghor. Plus d’un Africain  en avait été choqué,  mais le fils de Diogoye n’avait pas tout à fait tort et son dicton est plus que jamais d‘actualité si on en juge par le  ton de vos contributions. La passion en soit n’est pas un mal, car inhérente à la personne humaine et pas seulement au nègre comme le soutien Senghor, toutefois, j’estime que le croyant, de surcroît intellectuel, doit pouvoir prendre du recul, s’élever au-dessus des contingences, bref, quitter l’état de passion pour celui de la raison. Il ne s’agit pas ici de la raison d’Etat qui est unilatérale et impériale mais de la raison nationale qui est, elle, partagée. En d’autres termes, chaque citoyen à quelle que posture soit-il, doit être conscient des grands principes qui fondent la république et guident la vie de la nation.

L’Association des Sénégalais de Fuerteventura (Asef) ; porte á la connaissance de toute la communauté qu’une équipe mobile du Consulat Général du Sénégal á Madrid déplacera du 29 au 30 mars 2016 une partie de ses services á Fuerteventura.

Deux  jours durant, les sénégalais de cette localité vont pouvoir accomplir certaines formalités administratives á moindre coût dans un délai record.

Alors que les hommes politiques sont obsédés par tout ce qui touche aux élections [durée et nombre de mandats, modernisation des partis politiques], les Sénégalais - qui ont mûri et qui sont suffisamment éclairés sur leur religion - sont surtout préoccupés par  ce qui touche aux moeurs et tiennent à ce que leurs convictions religieuses soient prises en compte dans la gouvernance de l’État ; hélas, ceci est actuellement irréalisable, du fait de la laïcité de l’Etat et des pressions intolérables des lobbies franc-maçonniques et homosexuels conditionnant leur collaboration (investissements financiers) à la conformité avec les ‘’droits humains’’, englobant ceux des homosexuels et d’autres ‘‘nouveaux droits’’.