Smile Identity fournit des outils de vérification d'identité, de KYC numérique, d'intégration des utilisateurs, de vérification des documents, de vérification de l'authenticité, de reconnaissance faciale, de lutte contre la fraude et de déduplication des données d'identité, qui favorisent la croissance et l'expansion rapides des entreprises et des start-ups en Afrique.
La manipulation de l’information ne se limite pas aux trolls et aux messages robotisés. Journalistes et influenceurs sont également la cible de groupes de hackers. Petit tour d’horizon des techniques employées ces dernières années.
À l’occasion de cette seconde édition, Kaspersky présentera son initiative globale de transparence, pilier de son engagement en faveur d’un avenir numérique plus sûr
Le Paris Peace Forum (Forum de Paris sur la Paix) (ParisPeaceForum.org) revient pour une seconde édition qui se tiendra du 11 au 13 novembre 2019, à la Grande Halle de La Villette. Cette année encore, l’événement réunira une multitude d’acteurs publics, privés et de la société civile pour échanger sur les questions de gouvernance mondiale et de multilatéralisme. Plus de 30 chefs d’états et de gouvernements sont attendus, avec pour objectif affiché d’accélérer la coopération internationale et apporter une réponse collective aux grands défis sociétaux d’aujourd’hui et demain.
Technologie : A l'écoute de ses utilisateurs, Microsoft devrait bientôt supprimer l'un des dispositifs les plus irritants de son OS Windows 10 : la nécessité de changer son mot de passe tous les 60 jours.
La galère d'avoir à changer de mots de passe tous les 60 jours pourrait bientôt toucher à sa fin pour les utilisateurs de Windows 10.Il faut dire que cette fonctionnalité destinée à renforcer la sécurité des accès à l'OS provoquait entre autre biais des créations de mots de passe incrémentiels très peu sécurisés !
Le réseau social révise à la hausse le nombre d’utilisateurs impactées par cette mauvaise gestion des données. Au départ, Facebook ne pensait qu’ils n’étaient que quelques dizaines de milliers.
D’après Le Monde, Emmanuel Macron échangerait de nombreux messages par le biais de son compte personnel Gmail. Mais utiliser la messagerie de Google au sommet de l’Etat soulève des questions de cybersécurité.
La cybersécurité est passée en peu de temps d'une tâche commune de la DSI à une priorité absolue pour les directions d'entreprise. Et pour cause : les attaques informatiques se multiplient et sont de plus en plus élaborées. Pire : leurs impacts sont bien plus coûteux, allant du vol de données personnelles ou confidentielles, à l'altération de contenu, en passant par la prise en otage de données. Pour s'en prémunir, et sauvegarder son image, les outils traditionnels ne suffisent plus.
L’IETF vient d’approuver officiellement le protocole TLS 1.3 pour mieux chiffrer les connexions HTTPS. Au menu : génération des clés de session éphémères, expulsion des algorithmes vieillots et réduction de la latence.
Mauvaise nouvelle pour les services de renseignement et autres espions : après quatre ans de discussions et 28 ébauches, l’IETF vient enfin d’approuver TLS 1.3, la nouvelle version du protocole utilisé pour chiffrer les échanges sur le web par HTTPS. Cette nouvelle mouture renforce considérablement la sécurité et la performance des connexions web par une série de nouvelles fonctionnalités et d’améliorations.
La dernière version du logiciel d’installation permet à un attaquant d’obtenir les privilèges système par une injection DLL locale. Les versions précédentes de Skype le permettaient aussi. C’est devenu une tradition !
La semaine dernière, une polémique un peu technique a émergé à propos de la sécurité de Skype et de ses programmes d’installation et de mise à jour. Un article de ZDnet a d’abord mis le feu aux poudres, entraînant dans son sillon toute une série de publications similaires. Notre confrère arguait qu’une faille dans le système de mise à jour permettait une méchante élévation de privilèges au travers d’une attaque par injection DLL.
Et si demain, vous utilisiez votre visage et votre voix pour vous authentifier ? Pour Erkam Uzun, Simon Pak Ho Chung, Irfan Essa et Wenke Lee, du Georgia institute of technology, un tel scénario est le seul moyen fiable pour permettre à un smartphone de s'assurer que la personne qui l'utilise est bien son propriétaire légitime.
Une technique d'authentification forte, reposant sur non pas une, mais deux composantes biométriques (le visage et la voix), agrémentée de deux « défis » supplémentaires, vient d'être présentée au colloque Network and distributed systems security (NDSS) symposium 2018, qui se tient en ce moment à San Diego.