iGFM (Dakar) «Je m’étonne vraiment j’avoue que je suis surpris par cette intervention qui ne s’explique pas du tout et qui est mal fondée». Ainsi répond Me Felix Sow à Me Doudou Ndoye soutenant au cours d’une conférence publique tenue hier que la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est illégale. Car, c’est lui-même qui l’avait supprimé quand il était ministre de la Justice sous Abdou Diouf. Une information battue en brèche par Me Moussa Félix Sow. Selon lui, « le  parallélisme des formes voudraient que quand vous prenez une loi pour créer une structure », par la même occasion, il faudrait qu’il ait une autre loi qui vienne expressément dire que j’abroge la loi qui avait créé l’institution. Tel n’est pas le cas ».

«Je suis le secrétaire national chargé de l’administration, de la communication et porte-parole de l’Urd. Il n’y a pas une meilleure personne mieux autorisée pour apporter cette précision-là. Lorsque Badara Pouye parlait dans la presse au nom de l’Urd, c’est moi qui le lui demandais. Premièrement, c’est un imposteur ; deuxièmement, c’est un menteur parce qu’il dit qu’il est membre de la Dpe (Direction politique exécutive).

Mansour Faye sera le candidat de la coalition Benno bokk yaakaar aux prochaines Locales. Ainsi en a décidé la conférence des leaders de ladite coalition qui s’est réunie hier. Le camp du maire sortant Cheikh Bamba Dièye les «attend de pied ferme»

« Le Président demande aux sénégalais de travailler et il ne travaille pas lui.  Il passe ton temps à recevoir des transhumants,  à faire la politique. Macky doit démissionner de l’Apr. Il doit faire des résultats, s’il ne le fait pas, il sera dégagé. Il y a beaucoup de théâtralisation et  beaucoup de discours sans actes concrets » a déclaré l’ancien Directeur de cabinet adjoint du Président. 

L'OBS - Partira ou ne partira pas à l’Alliance pour la République (Apr, au pouvoir)? La proximité du maire de Bambey avec Macky Sall a laissé planer des doutes dans la tête des observateurs politiques. Certains ont déduit que Aïda Mbodji envisageait de quitter le navire bleu pour le marron. «Je suis plus que jamais ancrée au Pds. Je ne peux plus avoir ce que je n’ai pas eu avec Me Abdoulaye Wade. Je ne serai plus derrière quelqu’un d’autre»,   clarifie Aïda Mbodji à l’occasion du lancement de son mouvement politique dénommé l’Alliance nationale pour la démocratie (And/Saxal Liguey) hier au Grand Théâtre. Voilà qui est clair. Le leader du mouvement rappelle que la mission de sa structure est «d’animer et de remobiliser notre cher parti, le Pds, pour faire face aux multiples agressions dont il est victime comme en atteste cette cérémonie qui se tient au moment où notre leader et guide politique, le frère Secrétaire général, Me Abdoulaye Wade est hors du pays».  Pour «être membre de notre mouvement dans le contexte actuel de notre démocratie, c’est renoncer à la facilité, à la fatalité et à la démission», rappelle Aïda Mbodji.

iGFM (Dakar) La Chambre d’accusation a tranché hier en faveur de l’ex-directeur général de la Société africaine de raffinage (Sar) à qui le juge du 3ème cabinet avait accordé la liberté provisoire sur la base d’un rapport d’expertise médicale qui révélait que son état de santé était incompatible avec les rigueurs de la détention. Mais cette version n’avait pas convaincu le Parquet qui avait fait appel. Carmélo Sagna est poursuivi dans le cadre de l’affaire du fuel dit «frelaté» vendu à la Senelec. Il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt pour détournement de deniers publics, escroquerie, corruption passive, entre autres chefs d’inculpation, rappelle «Le quotidien».

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« Depuis quelques jours, des informations relayées dans la presse font état du refus, par le Ministre de l’Intérieur, de délivrer le récépissé de déclaration du parti politique dénommé  Bess Dou Niakk/ Mouvement Citoyen pour la Refondation nationale », souligne un communiqué de presse signé du ministre de l’intérieur. Ce dernier « invite à la retenue tous les requérants des dossiers de partis, en cours d’instruction, et à laisser l’administration accomplir son travail dans la sérénité ».   M. Abdoulaye Daouda Diallo explique « qu’au demeurant, même si le droit positif sénégalais n’enferme pas l’administration dans un délai, cette dernière, dans sa logique de simplification des offres de services, s’impose une rigueur dans le traitement des dossiers en termes de célérité mais également de non-discrimination ».

Décidé à pousser les pouvoirs publics à lui délivrer enfin son récépissé de reconnaissance, Bës du Niakk de Serigne Mansour Sy Djamil (mouvance présidentielle) se met en ordre de bataille et envisage de battre le macadam…prochainement.  L’annonce a été faite, ce samedi, par le mouvement qui a par ailleurs dénoncé une « tentative délibérément discriminatoire du ministre de l’Intérieur…de lui barrer la route à une participation aux élections locales du 29 juin 2014 ». Avant de notifier à l’opinion la décision d’aller aux élections locales sous sa bannière.  

Mbaye Dione se garde de tout commentaire sur la décision du Bureau politique de l’Afp de ne pas présenter ou soutenir une candidature contre Macky Sall en 2017. Alors qu’on prête à Malick Gakou des ambitions présidentielles, le président du Conseil rural de Ngoundiane par ailleurs responsable de l’Apr rappelle que ce dernier reste le numéro 2 de l’Afp et estime que ses positions doivent être respectées.

Cette native de Dakar  a vu le jour  en 1979 et elle a été formée au Média Centre de Dakar  avant d’effectuer des stages à la FEMIS de Paris, à la Filmakademie en Allemagne et au programme de formation de production Eurodoc… Elle a démarré sa carrière comme monteuse avant de passer à la vitesse supérieure en devenant réalisatrice. C’est en 2005 qu’elle se lance dans la production de son premier documentaire en format court-métrage intitulé  ‘’Mon Beau Source’’. Ce coup d’essai se révèle un coup de maître car le film a été projeté dans plus d’une cinquantaine de festivals à travers le monde. Par la suite, elle met sur pied  sa société de production qui porte le nom de ‘’Karoninka’’. Ce qui lui permet de réaliser avec brio des documentaires comme  «  Sénégalaises et Islam » en 2007, « Yandé Codou, la griotte de Senghor » en 2008 et « Docteur Mukwege, l’homme qui reconstruit les femmes » en 2014.  Présentement, Angèle Diabongtravaille sur son premier long-métrage de fiction qui est une adaptation du célèbre roman ‘’Une si longue lettre’’ de Mariama Ba

L'OBS - Au Sénégal depuis 2003, Julie Taminiaux, une jeune dame Belge âgée de 30 ans et qui était mariée à un Sénégalais avec qui, elle a deux petits garçons avant de divorcer, cherche des voies et moyens pour rentrer chez elle. La dame est passée hier, dans les locaux de L’Observateur, la tenue dépenaillée pour raconter le calvaire qu’elle vit au Sénégal.   

«Je m’appelle Julie Taminiaux, j’ai 30 ans. Je suis Belge. Je vis à Saly (Sénégal) depuis 2011. C’est en 2003 que je suis venue en vacances au Sénégal. Et par hasard, j’ai rencontré un Sénégalais sur la plage à Saly (Station balnéaire à Mbour). 

En visite, samedi, à la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara), le musicien sénégalais de renommée internationale, Baaba Maal, a invité les gouvernements africains à accorder davantage d’intérêt à l’agriculture, en mettant  sur pied un  « très grand plan agricole».

Reconnu, depuis quelques années, pour  ses actions et initiatives allant dans le sens de répondre aux préoccupations des populations pour la maîtrise de la production alimentaire, le musicien Baaba Maal a été, samedi, l’hôte de la 15e édition de la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara). 

iGFM-(Dakar) C’est dans sa luxueuse maison appelée «petit palais» que Ahmet Khalifa Niass a reçu dimanche l’équipe de la chaine panafricaine Africa7, dans l’émission «26 minutes de vérités». Le frère de Sidy Lamine qui a accepté de parler du dernier Ziarra de son père, de politique et de la situation actuelle du pays, a attendu la fin de l’émission pour dire au présentateur: «les meubles sur lesquels vous êtes assis sont en Jeans. Je suis le premier à l’avoir au Sénégal. Le mètre coute excessivement cher. J’ai acheté ce salon pour faire plaisir à mes enfants. Parce que je me suis dit que s’ils portent des pantalons Jeans,  ils  aimeraient s’assoir sur des meubles du même tissu», comme pour dire que quand on a les moyens on peut tout se permettre.

Marianne Siva DIOP  

iGFM-(Dakar) Sollicité par les habitants de Foundiougne d’où il est originaire, pour la rénovation de leur grande mosquée, Mouhamed Diamé a offert 20 millions de FCFA à sa ville natale. Le capitaine des Lions a d’abord remis 10 millions aux membres du comité chargé de la rénovation de cette mosquée de 700 m2. Il a ensuite distribué 10 autres millions FCFA aux mosquées des villages environnants dont Mbam, Soum et Thiaré. Un geste très apprécié par les imams de cette localité.

Marianne Siva DIOP

Les frontières entre hommes de loi et hors-la-loi sont parfois bien minces. Le bien célèbre commandant de brigade de gendarmerie, désormais à la retraite, Mamadou Aliou Diallo, est tombé à Thiès où il a été placé sous mandat de dépôt pour une sombre affaire d'escroquerie.  Selon « Enquête », il s'agit d'une transaction portant sur un véhicule et qui aurait mal tourné. Il a donc été arrêté suite à un soit transmis du procureur de la République de Thiès. Mamadou Aliou Diallo, qui a dirigé une brigade de gendarmerie de Thiès ainsi que plusieurs autres brigades, dont Rufisque, Mbour etc, tombe là même où il a grandi, professionnellement parlant. 

DAKARACTU.COM Qui l'aurait cru? Incroyable, mais nos sources sont formelles: Papa Diéry Sène "est sur le point de rejoindre le parti de Macky". 

iGFM (Dakar) L’ancien président du Tchad a été ce matin aux Chambres africaines extraordinaires. Hisséne Habré assistait à l’état des lieux suite à la perquisition faite à son domicile la semaine passée. Son avocat Me El hadji Diouf qui s’est vu refuser l’accès au domicile de son client lors de cette perquisition, n’a pas déféré à la convocation de ces juridictions donc a refusé d’assister à l’inventaire. Pour expliquer son acte, Me El hadji Diouf rappelle qu’il a été refusé l’accès au domicile lors de cette perquisition. Au cours de laquelle, regrette-t-il au micro de la Radio futurs médias (RFM), s’adressant aux forces de l’ordre, « ils ont même détruit le système de surveillance qui coûte très chère (…) ils ne vouaient pas que la machine les montre en train de voler ».