Pourquoi la Première Dame ne devait pas revenir sur "l'affaire Assane M'backé"
Les professionnels de la communication le savent bien : la bonne communication est un gage de réussite dans les affaires, particulièrement de l'Etat. Mais, pour ce coup ci, le coche a été raté, et pour cause, car les nombreux détracteurs du chef de l'Etat et de sa politique gouvernementale vont s'engouffrer dans la brèche ouverte par la réponse de la Première Dame. Le but des pourfendeurs de Marième Faye Sall étant de l'impliquer dans le jeu, de la faire descendre dans l'arène, et du coup en faire une cible. Opération pratiquement réussie par cette réponse "improvisée" de Mme Sall, d'autant que l'affaire commençait à être oubliée et voilà qu'on la remet au centre de l'actualité, permettant ainsi à Serigne Assane et C°, de pouvoir saisir la balle au rebond et de s'activer à nouveau.
Même si nous ne dénions pas à la Première Dame le droit de veiller à son image, voire la préserver. Mais en l'espèce, la seule signature hier, du protocole avec Bmce, constituait un cinglant démenti aux assertions et insinuations naguère avancées par ses pourfendeurs.
Un communiqué de presse juste après le cérémonial, appuyé d'images (qui valent mille mots), aurait largement suffi comme réponse aux accusations aussi graves fussent-elles.
A titre d'illustration, nous citerons Bertrand Russell, lequel soutenait dans un de ses ouvrages :" le fait qu'une opinion soit très répandue ne prouve nullement qu'elle est fondée"...
source: http://www.dakaractu.com/Pourquoi-la-Premiere-Dame-ne-devait-pas-revenir-sur-l-affaire-Assane-M-backe_a77981.html
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