Bagarre entre les footballeurs sénégalais El Hadji Diouf et Ousmane Ndoye. L’incident s’est déroulé hier au Paradis Night Club, une boîte de nuit très fréquentée de la capitale sénégalaise. Les deux anciens internationaux se sont bagarrés vers les coups de 5 heures du matin révèlent des sources à Times24.info.
El Hadji Ousseynou Diouf n’est plus très visible sur les terrains de football, mais il continue à défrayer la chronique. L’ancien international sénégalais qui a participé au Mondial 2002 avec les «Lions», occupe encore une place de choix dans les rubriques faits divers des journaux. Dernier exemple en date : Une bagarre qui l’a opposé à Ousmane Ndoye, également ancien international sénégalais.
iGFM- (Dakar) « Je ne fais pas partie de Benno Bokk Yakaar. C’est clair » a déclaré ce vendredi le ministre conseiller Youssou Ndour au meeting de clôture de Mme Aminata Touré au terrain de foot de Khar Yalla. Aux responsables de Benno Bokk Yakkar, Youssou Ndour, s’est voulu clair : » Le contrat moral qu’on a signé avec les populations, nous Fekké Macci Bollé nous nous portons garants de le respecter. Dès lundi, nous viendrons signer ce contrat, parce que c’est très sérieux ».
L’argent est-il entrain de tuer le sport ? Le football en souffre terriblement au moment où jamais, discipline n’a mobilisé autant d’intelligence dans son organisation. Entre des dirigeants de la Fifa qui se disent « c’est grâce à nous, que tout çà est arrivé » et qui doublent ou triplent leur prime et des joueurs ghanéens qui se battent pour recevoir des primes qu’ils auraient dû retourner au pays pour améliorer les aires de jeu, entretenir des centres de formation, la poire est difficile à partager.
iGFM - (Dakar) Fallou Cissé soutient mordicus que rien ne justifie le récent tête-à-tête entre le jeune chanteur Waly Seck et le président de la République Macky Sall.
À la surprise générale, le chanteur Waly Seck a été reçu en audience par le président du Sénégal, Macky Sall. Une audience qui n’a pas fini de faire des vagues d’autant plus que nombreux sont ceux qui estiment qu’il n’avait pas à se promener au palais de la République. Parmi les souteneurs de cette thèse, le très bouillant prédicateur Fallou Cissé.
L’OBS – Moins d’une semaine après l’agression d’un jeune militant de Rewmi qui avait reçu un coup de machette sur la tête pendant qu’il collait des affiches, la violence a resurgi a Keur Massar à la même heure de la nuit et dans le même contexte. A la seule différence qu’en lieu et place des militants, souvent utilisés comme des chairs à canon, ce sont deux têtes de liste, Alassane Ngom et Abdoulaye Sow, respectivement têtes de liste proportionnelle de Visions alternatives pour le Sénégal (Visa) et majoritaire de «Lengo Liggéyeule Sénégal And défar Keur Massar», qui se sont affrontées. M. Ngom, par ailleurs, propriétaire du complexe «Le Ravin», est blessé à l’œil gauche et est en garde à vue, tandis que son protagoniste a été libéré après avoir été entendu.
Le Daily Telegraph révèle que les matches arrangés seraient plus courants qu’on ne l’imagine. Notamment au Ghana, dont le président de la fédération, un de ses dirigeants et un agent FIFA, sont tombés dans un piège tendu par le média anglais.
iGFM-People (Dakar) Ne soyez pas surpris de voir un de ces quatre le chanteur sénégalais Backa Niang chanter aux cotés du rappeur américain 50 Cent. Leur collaboration n’est qu’une question de temps…
Ex-membre du groupe de rap Gokh Bi System, Backa Niang veut sa place au soleil de la musique. Raison pour laquelle, le chanteur qui vit aux Etats-Unis depuis bientôt quelques années n’exclut pas de collaborer avec le rappeur 50 Cent. « Le Feeling est bien passé entre 50 Cent et moi et il s’est dit disposé de collaborer avec moi », a entériné le chanteur qui semble avoir changé de registre depuis qu’il a quitté Gokh Bi System pour une aventure solo.
Pour son 100ème match de Coupe du Monde de la FIFA, le Brésil a décroché sa qualification pour les huitièmes de finale face à un Cameroun déjà éliminé, le Brési grâce notamment à un doublé de Neymar, son homme providentiel.
La dernière fois que la Seleção a joué à Brasilia, c'était pour le match d'ouverture de la Coupe des Confédérations 2013 contre le Japon, remporté 3:0 avec un but d'anthologie de son prodige après trois minutes.
Contre les Camerounais, c’est le temps qu’il faut à Paulinho pour signer un première alerte jaune (3’). Il y a le feu. Après son match nul contre le Mexique, la Seleçao veut se rassurer, et vite. Cette fois encore, le peuple auriverde peut compter sur Neymar, qui ne laisse aucune chance à Charles Itandje (0:1, 16’). Les Lions ne se laissent pas abattre et égalisent par Joel Matip (1:1, 26’), mais le Barcelonais est décidément en état de grâce (1:2, 35’).
Mondial 2014 - Vidéo Match Croatie –Mexique, score 1-3 , El Tri prend trois longueurs d’avance (1:3)
Le Mexique n’avait besoin que d’un nul pour s’assurer une place en huitièmes de finale. Mais El Tri n’a fait aucun calcul pour écarter la Croatie de la route. Pourtant, les Vatreni ont dominé la première période dans les grandes largeurs, sans réussir à mettre le cuir à la bonne hauteur. En tout cas pas sous les 2m44 du but de Guillermo Ochoa, les tentatives de Danijel Pranjic (27’), Ivan Perisic (29’) et Darijo Srna (40’), filant toutes au-dessus de la transversale.
Le temps des dernières journées de la phase de groupes et des doubles confrontations est venu. Pendant que Chili et Pays-Bas se disputent la première place à São Paulo, l'Australie et l'Espagne s'affrontaient pour sauver l'honneur à Curitiba. Prendre ses premiers points dans le Groupe B après deux défaites : l'enjeu était le même sur le papier. Dans les faits, les rois espagnols se devaient de redorer un peu leur blason avant de quitter l'échiquier mondial.
Visiblement encore marqués de leurs déroutes contre les Pays-Bas et le Chili, les hommes de Vicente del Bosque ont mis un peu de temps à faire respecter leur rang face aux modestes Socceroos. La Madjer de David Villa après un beau mouvement à trois a enfin redonné un peu d'éclat à la Roja (0:1, 36'). L'action est partie d'une ouverture lumineuse d'Andrés Iniesta, qui fêtait sa 100ème cape. Le Barcelonais a tout aussi royalement servi Fernando Torres après la pause (0:2, 69'), puis Juan Mata s'invitait au bal sur une ouverture de Cesc Fabregas (0:3, 82').
Comment imaginer une rencontre la peur au ventre entre deux adversaires déjà qualifiés pour les huitièmes de finale ? Tout simplement en imaginant l’identité du futur adversaire pour le perdant.
Celui qui finira deuxième du Groupe B affrontera selon toute vraisemblance la Seleçao. De quoi trembler à l’avance… sauf si on est Brésilien. Car ce qu’ont montré les Pays-Bas et le Chili n’est pas vraiment effrayant. Les cinq buts et les vagues oranjes qui se sont abattues sur l’Espagne ? Oubliés. La puissance chilienne aperçue face à l’Australie ? Lointain souvenir.
L'Algérie s'est offert le droit de rêver à sa toute première qualification pour les huitièmes du Mondial grâce à une victoire historique devant la Corée du Sud (4-2) dimanche 22 juin à Porto Alegre, trente-deux ans après le dernier succès des Fennecs en Coupe du monde.
Métamorphosée par rapport à l'équipe qui s'était écroulée devant la Belgique mardi (2-1), la sélection algérienne a rapidement pris l'avantage grâce à un but de pur avant-centre d'Islam Slimani (26e), également passeur pour Abdelmoumene Djabou sur le troisième but (38e).
Les Etats-Unis pensaient se qualifier directement pour les huitièmes de finale tout en éliminant le Portugal. Mais une égalisation en dernière seconde a offert un sursis à Cristiano Ronaldo et compagnie, déjà en danger après la déroute allemande.
Une erreur d'entrée de la défense américaine les remet en selle. Sur un centre manqué, un renvoi approximatif de Geoff Cameron trouve Nani qui tire à boulets rouges dans le plafond de Tim Howard (0:1, 5'). Cueillis à froid, les Stars and Stripes tentent de mettre le feu dans le camp portugais. Ils peuvent se mettre au chaud avant le repos avec une double occasion brûlante, un poteau de Nani suivi d'un tir d'Eder sorti par Howard (44').
Les Diables Rouges se sont qualifiés pour les 1/8èmes de finale de la Coupe du Monde en battant la Russie 1-0 ce dimanche. Un but de Divock Origi en toute fin de match.
Le mythique Maracanã accueille le deuxième match des Diables. Pour l'occasion, et surtout suite aux débordements rencontrés en dehors du stade lors du match entre le Chili et l'Espagne, la sécurité est renforcée. Malgré ces mesures strictes, l'atmosphère dans la stade du Maracana est détendue. De nombreux supporters belges sont présents et chantent aux abords du Maracana.
Pour cette deuxième joute, Marc Wilmots effectue quelques changements dans son onze de départ. Il sort le trident de Tottenham (Vertonghen, Chadli et Dembele) et titularise Thomas Vermaelen et les buteurs belges face à l'Algérie, Marouane Fellaini et Dries Mertens.
Si la première place du Groupe F est promise à l’Argentine, Bosnie-et-Herzégovine et Nigeria sont destinés à se disputer le second billet. Voilà qui situe l’enjeu de la rencontre entre deux équipes que peu de choses séparent.
Peu de centimètres séparent également le coup franc de Peter Odemwingie de la lucarne d’Asmir Begovic, et quelques autres privent Edin Dzeko d'un but pour hors-jeu (21’). En un rien de temps, les Bosniens passent près du bonheur sur une frappe écrasée d’Izet Hajrovic (21’), une autre puissante de Dzeko boxée par Vincent Enyeama (24’), et un contre mal négocié par Miralem Pjanic (25’). C’est beaucoup par rapport aux offensives des Africains, mais un petit rien leur suffit pour faire la différence. Le débordement d’Emmanuel Emenike côté droit est conclu par Odemwingie, bien placé en retrait (1:0, 29’).
Combien de temps le mur iranien va-t-il tenir ? Gonzalo Higuain (13’) et Sergio Aguero (22’) l’attaquent les premiers mais leurs outils ne sont pas bien huilés. Les fondations perses sont solides avec Alireza Haghighi, qui peut compter sur les briques agencées par Carlos Queiroz. Les plans de l'architecte portugais de la Team Melli ont même failli casser la baraque avec plusieurs occasions brulantes.
iGFM – (Saint-Louis) A 35 ans, Abba Mbaye de la coalition «Elek Ci Biir», est sans nul doute le plus jeune candidat à la mairie de Saint-Louis. Ambitieux à souhait, Abba qui est d’avis que l’émergence et le rayonnement de sa ville natale ne peut passer que par sa jeunesse, a décidé d’apporter une réponse générationnelle, en briguant le suffrage des saint-louisiens.
Avec des maillots dessinés sur le corps, des actrices porno ont joué le match Allemagne - Ghana à Berlin sous les yeux de centaines de curieux.
Une heure avant le coup d'envoi du match entre l'Allemagne et le Ghana (2-2) disputé samedi soir, des actrices porno allemandes ont disputé un match de «gala» pour le compte de la «Sexysoccer 2014» à Berlin.
C’est une course-poursuite. Après Khalifa Sall, c’est son adversaire de Benno bokk yaakaar à Grand Yoff, Mimi Touré qui s’est rendue, hier, chez le khalife général des layènes. La tête de liste de Taxawu Dakar avait reçu la bénédiction du marabout pour les Locales. Mais à sa sortie, Aminata Touré, en compagnie du coordonnateur du Comité électoral de Bby, Moustapha Diakhaté et du leader de Fekké maci boolé, Youssou Ndour, a dégagé en touche. Après avoir, à son tour, recueilli sa «part bénédiction» auprès de Serigne Abdoulaye Thiaw Laye, la candidate de Bby de Grand Yoff, a déclaré que le soutien annoncé du Khalife général au candidat de la coalition Taxawu Dakar «ne correspond pas à la réalité».
Dans un match parfois fou, le Ghana a réussi à arracher un nul amplement mérité face à l'Allemagne. Si les Allemands avaient ouvert le score, les Black Stars ont pu croire à la victoire après deux réalisations d'André Ayew et Gyan. mais l'inusable Klose, qui venait d'entrer en jeu, a mis tout le monde d'accord (2-2). Ce beau résultat ne fait toutefois pas les affaires du Ghana, troisième de son groupe avec seulement un point.
Moins inspirée que contre le Portugal, l'Allemagne a été tenue en échec 2-2 par le Ghana samedi à Fortaleza malgré un but pour l'histoire de Miroslav Klose, un résultat qui rebat les cartes dans le groupe G du Mondial.
Depuis l'impressionnante victoire 4-0 face au Portugal, les Allemands ne cessent de parler de ce curieux syndrome du deuxième match qui, à l'Euro-2008 et au Mondial-2010, les avait vu perdre après avoir réussi leur entame.