Il va encore pleurer de chaudes larmes, si on le retient pas. Le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye a été maladivement humilié par la tête de liste majoritaire de “Taxawu Ndakaru”, Moussa Sy, par ailleurs maire sortant. Du coup, l’ancien ministre de l’Intérieur vient de subir un sérieux camouflet.
L’ancienne Première dame Viviane Wade n’avait pas accompli, dimanche jusqu’à 13h, son devoir civique pour la simple raison ‘’qu’elle a égaré sa carte d’électeur’’ à la veille du scrutin, a confié à la presse l’ex-président Abdoulaye Wade qui espère que son épouse ‘’trouvera son document de vote au cours de la journée’’.
Le Roc des Parcelles s’est pendu hier comme révélé certains sites dakarois comme Dakaractu. Le tombeur d’Emeu Sène a épousé la « liane » qu’il courtisait aux Etats-Unis. Selon un frangin du lutteur, la dulcinée du Roc des Parcelles Assainies est la fille de son parrain et promoteur Birame Gning.
Une victoire ternie par des incidents. Les Colombiens ont célébré la première qualification en quart de finale d’un Mondial de leur équipe de football, victorieuse 2-0 samedi de l’Uruguay. Mais ces festivités ont été ternies par des incidents.
Les habitants de Bogota, la capitale, ont dans un premier temps bravé la pluie pour danser dans les rues sur un air de salsa. Plusieurs milliers de personnes se sont ainsi rassemblées après le coup de sifflet final sur la place Bolivar, la plus grande de la ville, aux cris de «Colombie, Colombie». Mais des violences ont éclaté. Un premier bilan fait état de 274 rixes, de cinq personnes blessées et d’un mort pour la seule Bogota.
L’OBS – Les hommes du commissaire Ndiarra Séne ont mis fin aux agissements d’une bande d’escrocs composée d’une Sénégalaise, d’un Ivoirien et d’un camerounais. Le trio proposait la vente de graines à usage pharmaceutique pour le compte d’une firme anglaise. Mais il disparait toujours après avoir encaissé les sous pour une commande. Les trois mis en cause compte plus d’une dizaine de victimes.
Les hommes du commissaire Ndiarra Séne de la Division des investigations criminelles (Dic) a encore réussi un grand coup. Ils viennent de mettre fin aux agissements d’un bande d’escrocs composée de la Sénégalaise Fatima Djiba, l’Ivoirien Alain Kouassi et du Cameroun Lucien Mbouna Mvogo. Ce gang de malfaiteurs avait mis en place une organisation pour gruger des Sénégalais ont l’administrateur de société Doudou Dondé, le docteur en pédiatrie Abdou Khadre Diop, le restaurateur Mamadou Karim Sy, le commerçant Oumar Ndiaye.
Radamel qui ? Où sont passées les interrogations sur le niveau de la Colombie depuis qu’elle est privée de Radamel Falcao ? Disparues à mesure que le talent de James Rodriguez éclate au grand jour. Auteur d’un doublé, le milieu de terrain a battu presque à lui seul l’Uruguay en huitième de finale de Brésil 2014.
Et si l’absence du Tigre passe inaperçue, celle de Luis Suarez dans les rangs uruguayens est flagrante, Edinson Cavani manquant de soutien. Pas sûr cependant que le Pistolero aurait empêché Rodriguez de contrôler de la poitrine à 20 mètres du but, et d’enchaîner en pivot une volée du gauche sous la barre de Fernando Muslera (1:0, 28’) ! Encore une fois : Radamel qui ? La réaction charrua vient de Cavani, qui dévie à bout portant une frappe de Maximiliano Pereira pour faire briller David Ospina (39’).
Le Brésil a validé son ticket pour les quarts de finale, mais a souffert jusqu'au bout pour finalement pousser un grand ouf de soulagement en voyant Gonzalo Jara tirer sur le poteau dans la séance de tirs au but.
La Seleção était mise d'entrée en difficulté par un Chili combatif et omniprésent dans les duels. L'ouverture du score signée David Luiz suite à un corner (1:0, 18') libérait un Estadio Mineirão inquiet et un Luiz Felipe Scolari tendu.
Mais les Chiliens ne se démobilisaient pas et revenaient rapidement dans le match. Sur une remise nonchalante de Hulk, Eduardo Vargas dérobait le cuir et offrait l'égalisation à Alexis Sanchez (1:1, 32'). La deuxième bouffée de joie intervenait après la pause avec Hulk qui croyait se racheter de son erreur, mais son but était invalidé (55'). Julio Cesar sauvait le Brésil sur une frappe de Charles Aranguiz (64'), mais son homologue était lui aussi dans un grand jour, repoussant notamment une nouvelle tentative de rédemption du colosseauriverde (83').
Cette fois, c’est sûr : l’Algérie va réussir à se qualifier pour les huitièmes de finale d’une Coupe du Monde de la FIFA pour la première fois de son histoire. Les Verts ne sont qu’à 90 minutes du bonheur. Mais à peine six minutes après être entrés sur le terrain remplis d’espoir, la Russie leur propose de reporter leur rendez-vous de quatre ans…
Le temps pour la Sbornaja de prendre ses marques, pour Dmitry Kombarov de s’échapper côté gauche et centrer, et pour Alexander Kokorin de s’envoler et marquer de la tête (1:0, 5’). Les hommes de Fabio Capello, libérés par ce début idéal, domineront le reste de la première période. Les seules réactions maghrébines sont une tête d’Islam Slimani brillament sauvée par Igor Akinfeev (29’), et sa sœur jumelle qui connaît le même destin (43’).
Déjà qualifiés, les Belges font tourner. Les Sud-Coréens sont en revanche quasiment au complet pour jouer leur chance à fond dans le Groupe H en espérant que, dans le même temps, l'Algérie ne gagne pas face à la Russie.
Et le bilan est plutôt encourageant à la pause pour les Asiatiques. Les Fennecs sont menés 0:1 par les Russes à Curitiba, et les Diables viennent de voir rouge pour une semelle de Steven Defour (45'). Les hommes de Marc Wilmots ont une nouvelle fois raté leur première mi-temps en multipliant les mauvais choix, comme celui de Dries Mertens d'envoyer en tribunes une occasion immanquable (25'). Thibaut Courtois se montre en revanche impérial en sortant d'une main en béton le tir violent de Ki Syng-yong (30').
Comme un point qualifie l’Allemagne et les Etats-Unis pour les huitièmes de finale, pourquoi prendre des risques ? La Nationalmannschaft donne la réponse : faire le plein de points et de confiance. Mesut Özil mène l’attaque mais ses coéquipiers se marchent sur les pieds (9’). Les Américains, eux, prendraient la tête du groupe avec une victoire, donc point de calcul. Graham Zusi décoche une frappe puissante tout près de la lucarne de Manuel Neuer (24’).
Mais pas question de laisser filer la pole pour les triples champions du monde. Özil donne du travail à Howard avant la pause (35’), et Thomas Müller remet les points sur les "i" juste après, d’un plat du pied placé (1:0, 50’).
A l’attaque toute ! Pas de place pour les calculs à Brasília. La porte des huitièmes de finale passe par une victoire. Chiffrée de préférence, surtout pour le Portugal. Cristiano Ronaldo décoche la première flèche sur la transversale (5’), la seconde sur les gants de Fatawy Dauda (19’). John Boye se charge involontairement de la troisième, la plus douloureuse. Le défenseur trouve la lucarne de son propre gardien (1:0, 31’ c.s.c ) et les Portugais une raison de croire au miracle.
Mais leur moteur ne semble alimenté que par l’énergie du désespoir. Jeu trop direct, passes imprécises, occasions faméliques : le Ghana sent sa chance venir. Asamoah Gyan la saisit le premier d’une tête piquée (1:1, 57’). Ses coéquipiers n’y sont pas : leurs jambes sont coupées, et les bras de Dauda peu inspirés sur un dégagement dans les pieds de Ronaldo. Le cinquantième but avec la Selecçao de l'attaquant est l’un des plus faciles (2:1, 80’). Les Portugais acceptent les cadeaux africains, faute de mieux.
Face à l’Equateur, Didier Deschamps avait opté pour un profond bouleversement dans son 11 de départ, avec six changements par rapport au match face à la Suisse. Les probabilités pour que la France soit coiffée au poteau dans le Groupe E étaient infimes, encore fallait-il tenir tête à une Tri encore en course pour la qualification.
Antoine Griezmann d’une frappe aux 20 mètres à côté (10’), Moussa Sissoko d’une volée bien captée par Alexander Dominguez (16’) et Paul Pogba du crâne (38’) installaient la domination européenne. Mais pas de quoi inquiéter réellement le portier équatorien. Enner Valencia (39’) rééquilibrait les débats, mais sa reprise de la tête faisait briller Hugo Lloris.
Il est petit, mais il a les épaules larges. Dans tous les sens du terme. Xherdan Shaqiri, le milieu offensif de poche de la Suisse, a fait oublier presque à lui tout seul la déroute contre la France (2:5) en inscrivant face au Honduras un triplé qui envoie son équipe en huitièmes de finale.
Alors que l'Iran pouvait espérer une qualification en cas de résultat favorable dans l'autre rencontre du Groupe F, les Bosniens n'avaient que leur honneur à défendre pour leur première participation à une Coupe du Monde de la FIFA.
Ce sont pourtant ces derniers qui passent à l'attaque dans ce combat perdu d'avance. Muet depuis le début de la compétition, Edin Dzeko se fabrique un souvenir sur un tir de sniper dans le petit filet (1:0, 23'). Voilà qui contraint la Team Melli à une riposte immédiate. Masoud Shojaei sort l'artillerie lourde, mais la balle ricoche sur la transversale (24').
Conscient qu’une victoire lui offrirait la première place, le Nigeria démarre avec quatre attaquants. L’Argentine en aligne un de moins, mais l’un d’eux se nomme Lionel Messi, et ça change tout. Le capitaine albiceleste démarre au quart de tour pour inscrire son troisième but du tournoi, le premier encaissé par Vincent Enyeama (0:1, 3’). Réaction immédiate : il ne faut qu’une minute à Ahmed Musa pour faire tousser le moteur argentin et tromper Sergio Romero (1:1, 4’).
Les Super Eagles tiennent la route, même si Enyeama joue les dépanneurs sur quelques accélérations, en repoussant la frappe d’Angel di Maria et en sortant dans les pieds de Gonzalo Higuain dans la même minute (9’). Il est encore là pour écarter de sa lucarne le coup franc presque parfait de Messi (43’). "Presque", car la perfection est atteinte par laPulga dans la foulée (1:2, 45’+1), juste avant de rentrer aux stands.
Tout semblait jouer contre la Grèce. Pourtant, la pire attaque de la Coupe du Monde avec l'Iran au coup d'envoi contre la Côte d'Ivoire a réussi le coup parfait et s'est qualifiée pour les huitièmes de finale, laissant les Elephants sur le carreau.
Les champions d'Europe 2004 ne se sont jamais laissés abattre., même après avoir perdu sur blessure Panagiotis Koné (12') puis le gardien Orestis Karnezis(24'). Dominés, ils défendent en guerriers tout en jouant quelques coups à fond, à l'image de José Cholebas qui tape la barre (32') ou de Gorgios Karagounis qui contraint Boubacar Barry à une intervention sur sa ligne (34').
Quand la Colombie aligne ses coiffeurs, cela donne une équipe avec le meilleur buteur du championnat portugais Jackson Martinez, le deuxième meilleur artilleur de celui d’Allemagne Adrian Ramos, l’un des plus grands espoirs du football mondial Juan Quintero, et un milieu titulaire à l’Inter Milan, Fredy Guarin. Rien que ça… En face, le Japon aligne son meilleur onze, avec notamment un trident offensif Shinji Kagawa – Keisuke Honda - Shinji Okazaki.
Les hommes de confiance de Roy Hogdson ont gâché l’aventure de l’Angleterre après deux journées. Réponse du sélectionneur ? Le banc pourra profiter de ce qu’il reste de la fête contre celui qui l’a troublée dans le Groupe D. De son côté, avec son ticket pour le deuxième tour déjà en poche, le Costa Rica peut goûter à sa troisième sortie brésilienne l’esprit léger.
Daniel Sturridge est le premier à l’animer (12'). Celso Borges répond en faisant trembler la transversale sur coup franc (23’). Les spectateurs de Belo Horizonte ont l’esprit festif mais manquent de prétextes pour le faire entendre en cette première mi-temps pauvre en occasions.
C'est un match à élimination directe avant l'heure. Les deux victimes du Costa Rica s'affrontent à Natal, avec une seule place à prendre dans le Groupe D pour les huitièmes de finale.
Le match nul suffit à l'Italie, et la première mi-temps est parfaite de ce point de vue. Pas grand-chose à se mettre sous la dent pour les spectateurs de l'Estadio Das Dunas, excepté un coup franc lointain d'Andrea Pirlo (13') et une magnifique double parade de Gianluigi Buffon sur les tentatives de Luis Suarez et Nicolas Lodeiro (33').
GFM-People La coalition «Benno Book Yaakaar» de Saint-Louis, avec à sa tête Amadou Mansour Faye, a organisé un meeting de clôture de sa campagne, au stade Maitre Babacar Séye. Les partis composants cette coalition, mouvement de soutien ou même des curieux ont remplis comme un œuf ce stade.
Le clou de cette manifestation aura été certainement la venue de Waly Seck, qui a chauffé ce stade par un grand spectacle. Gfm.sn vous offre ci-dessous les images de cette manifestation.