« J’ai un grand respect pour Tounkara. Je lui reconnais son savoir et je suis souvent ses émissions », confie l’artiste Pape Diouf qui réfute toute censure de son clip Malaw, suggérée par l’animateur de l’émission « Senegaal ca kanam ».
La présidente du Parti Car/Leneen a invité les populations, lors d'une conférence de presse qu'elle a tenu hier, à son domicile, à boycotter le référendum prévu le 20 mars prochain. Dénonçant le non-respect de la parole donnée, Amsatou Sow Sidibé estime qu'il n'est pas encore trop tard pour le chef de l'Etat Macky Sall de réduire son mandat en cours en passant par une loi expressément rétroactive.
NON À LA DICTATURE CONSTITUTIONNELLE!NON AU MASSACRE DE LA VERTU!
Napoléon inventeur de la légion d'honneur disait:«C’est avec ces hochets qu’on mène les hommes… ».
Le cercle appelle les Sénégalais de tous bords, à sanctionner «la
dictature constitutionnelle» et à laisser par-dessus bords «ce
référendum de reniement » qui donne un goût très amer de « wax waxeet».
Le leader du Grand parti à fait face à la presse pour se prononcer sur l’actualité politique du Sénégal. En effet, El Hadj Malick Gackou a fait savoir qu’après s’être concerté avec les organes de son parti au Sénégal comme à l’extérieur, il a fondé ses convictions profondes sur les propositions de réformes constitutionnelles « en mettant en exergue l’impérieuse nécessité pour les forces vives de la Nation de défendre la République, la cohésion sociale, le consensus national et la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation sénégalaise ».
Elle est là, elle chante. Tout est beau, elle est magnifique. Il ne faut pas qu’elle s’arrête, c’est si bien. Elle rit, elle danse. Comme toujours, la même ferveur. Les mots qui touchent. Elle aime ça. On dirait qu’elle apprécie aussi la mélancolie sans trop le dire. Ça se voit. Ça ne peut qu’être ça. Elle sait que les mots ont un sens. Elle en profite. Elle en profite en bien. Cela lui va à merveille. Elle nous vient avec un nouvel album aux sonorités variées. Oui, c’est une artiste qui nous vient du Cameroun. Elle a travaillé avec les plus grands noms de la musique. Elle est modeste, mais ses dernières chansons ont cartonné.
Babacar Diop, président de And dollel Khalifa Sall, sur la position de Ousmane Tanor Dieng, Secrétaire général du Parti Socialiste, déclare : «And dollel Khalifa Sall appelle au boycott parce qu’aller aux urnes, c’est cautionner le référendum. Il faut montrer à la face du monde que le Président Macky Sall n’a pas respecté son engagement de réduire son mandat de sept à cinq ans. En réalité, il n’a pas de bilan à présenter aux Sénégalais.
Idrissa Seck qui a réuni son état-major politique, aujourd’hui mercredi, a décliné la position de son parti Rewmi par rapport au référendum du 20 mars prochain, proposé par le président Sall. «Je suis candidat pour voter NON au référendum», lance-t-il à la presse.
(SenePlus.Com, Dakar) - Khalifa Sall désapprouve la décision de Macky Sall d’aller au bout de son septennat. Il l’a fait savoir, sans prendre de gants, dans une déclaration parvenue à SenePlus. "Je prends acte de la décision du président de la République de revenir sur son engagement de réduire le mandat en cours de sept à cinq ans après l’avoir promis entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2012 et après l’avoir, (suite à) son élection et à maintes reprises, réitéré aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du Sénégal."
Nervosité suspecte, fuite de responsabilité, courage discutable, colère sans cause… C’est le stock de marchandises avariées et frauduleuses que le Président de la république vient de fourguer aux Sénégalais dans un emballage étiqueté «reniement d’un engagement électoral». Le coup de massue est terrible et sans appel contre la démocratie sénégalaise, contre les valeurs d’éthique et de probité morale, contre toutes ces autres valeurs opposables aux turpitudes quotidiennes des hommes et femmes politiques de notre landerneau.
Le jeune et téméraire Saer Tambédou s’est toujours distingué et, ce, depuis 2013, comme l’un des plus fervents défenseurs de Wade-fils. Président du Groupement des Jeunes Marchands Ambulants et Tabliers de Dakar, le natif de Baba-Garage (Baol, dep. Bambey) s’est vu catalogué comme un virulent contempteur du régime du Président Macky. Avec son mouvement « Macky Bayil Karim (M.B.K) », il tenait à être présent à toutes les audiences du procès de Karim Meissa Wade.
Le président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle n’a pas mis de gants pour répondre à son désormais ex-allié, le député Imam Mbaye Niang. Très remonté contre ce dernier, qui doute de l’éthique de Macky Sall, Moustapha Diakhaté affirme, dans un entretien qu’il a accordé à Walf Quotidien, que son collègue ne croit pas à la République.
Le cercle des intellectuels soufis, déplore un «Wax Waxeet» caractérisé, et regrette le fait que le président de la République Monsieur Macky SALL, ait manqué l'occasion de montrer à la face du monde qu'ici en Afrique, on est capable de donner la leçon, et que le pouvoir n'est pas une fin en soi. Selon ses propres termes.
Peut être que le principe moral, ne saurait en rebattre du caractère impersonnel et général des règles de droit, qui considère que ce mandat est hors de portée de la nouvelle loi, du fait qu’il était préalablement fixé dans le temps. Mais, qu'à cela se tienne, ceci installe «un traumatisme politique » et constitue une fuite en avant caractérisée, qui ne le dérange pas, parce qu’il serait très douloureux pour lui.
Généralement, j’évite le livre politique et cela vaut pour toutes les politiques du monde. Je trouve ce genre d’œuvre prétentieux et dogmatique, tel un gourou s’exprimant à ses proies présentes ou futures.
Dieu lui a appris la justice ; puis il se rebella et le vida de toute sa dimension spirituelle ; dans son égarement manifeste et son insouciance, il oublia même que le Droit positif dont il prétend être l’inventeur et vante son universalisme est d’essence judéo chrétienne. L’homme ! Quel impie et quel ingrat ! Oui, Dieu l’a créé d’une goutte de sperme et le voilà rebelle ; s’il avait réellement pris conscience de toutes les savantes transformations qui ont abouti à l’être humain dont il est devenu, il aurait certainement fait preuve de plus de clairvoyance, d’humilité et de reconnaissance. [(80. Il s’est renfrogné : 17 – ‘Abasa) ; (23. Les Croyants : 12-14)].
Le Président de la République vient d’en démontrer la portée significative relativement à la non proposition, au peuple, d’une réduction du mandat présidentiel qui concernerait celui actuellement en cours. Alors qu’il l’avait clamé, ici et ailleurs, ès qualités de candidat à la présidentielle et de Président de la République en exercice, il donne, « hélas », raison à Dietrich Bonhoeffer qui défendra que : « l’action ne dérive pas de la pensée, mais d’une bonne volonté à assumer ses responsabilités ».
«Ndèye», j’ai appris que, depuis hier, tu étais devenue fleur éternelle plantée, sous une pluie de larmes, dans les cimetières de Thiès. Fleur qui, de par ses racines voisines
La gymnastique politico-juridico-médiatique qu’on nous a servie hier soir, et dans laquelle on veut nous enfermer, nous l’avions déjà vue. Nous avions même accordé une note artistique et technique à l’athlète de l’époque, le président Abdoulaye Wade, en l’envoyant à la retraite.
Lorsque l’ancien président a voulu forcer le passage et s’offrir un troisième mandat, nous nous sommes farouchement opposés, dans la rue.
Le Secrétaire général du Parti socialiste (Ps) est en phase avec la décision du Président Macky Sall. "Il s'est dit que le Conseil constitutionnel est le gardien de la Constitution, il est le plus apte à dire si la volonté du Président se conforme à la Constitution. C'est la raison pour laquelle je suis en phase avec sa décision", a déclaré le leader du Ps.
La transhumance d’AWA COUDDOU FOURCHETTE NDIAYE vers le parti au pouvoir n’est ni « par amour », ni « par gentillesse », ni « pour les beaux yeux de Macky Sall », ni « pour l’intérêt du peuple sénégalais ». C’est plutôt pour rejoindre le festin du parti cartel Benno Bokk Yakaar et retrouver ses avantages et privilèges perdus (DEUKBI GOORÉ DAFFÉ DIÉKH).