Dimanche, il faisait savoir que l’objet de la convocation ne lui a pas été signifié.

LA SITUATION CHAOTIQUE DU MONDE INTERPELLE L’EGLISE ET LES OULEMAS !!!
Indéniablement, nous assistons à un véritable tournant ; l’humanité est véritablement entrain de basculer dans une ère nouvelle qui inspire beaucoup d’incertitudes et d’inquiétudes, si on considère la crise multiforme (économique et financière, écologique, etc.) qui perdure ; s’y ajoute la gravité et la très grande fréquence des troubles qui ont déstabilisé beaucoup de pays (Afrique centrale, Ukraine, Lybie, Sud Soudan, Thaïlande, Venezuela, Liban, Irak, Pakistan, Afghanistan, etc.) ; sans compter la recrudescence des calamités naturelles (graves inondations en France et en Grande Bretagne, tempêtes de neige aux USA et au Japon, tremblements de terre, éruptions volcaniques, etc.). Et c’est là, à l’évidence, une situation très cocasse qui échappe véritablement à l’analyse psychosociologique classique.

Farba Senghor n’a finalement pas été entendu, hier, par le juge d’instruction. Dans un communiqué laconique, l’ancien ministre et responsable libéral écrit : «Je voudrais vous faire savoir que j’ai été saisi par les soins des services du 1er cabinet d’instruction du Tribunal régional hors classe de Dakar qui m’ont informé ce jour (hier), à 14 h 30 mn, que ma convocation a été reportée à une date ultérieure.»


L'OBS - Dans le cadre douillet du Sea Plaza, en bordure de la mer, la Saint-Valentin, le 14 février, fête des amoureux, a connu le summum de la passion. A l’initiative de la structure 37cinq, en collaboration avec Prince Art et la Tfm, un jeu, une télé-réalité, «Sey bi», est devenue une réalité pour le couple Mbaye Jean Ndour et Marième Diop. Un mariage à l’épreuve des cadeaux

L’adrénaline ne cesse de monter chez les « Apéristes » de Kédougou, depuis le passage du ministre de la Femme, de la famille et de l’enfance Anta Sarr. Avant-hier, ce sont les jeunes de la formation politique du Président Macky Sall dans la localité qui sont montés au créneau, suite à la nomination de Mansour Faye, non moins frère de la première dame du pays, comme commissaire politique à Kédougou.

DAKARACTU.COM Dans un entretien avec ‘’l’Observateur’’, la vice-présidente de l’Assemblée nationale Awa Guèye a déclaré que le travail de Marieme Badiane à la tête du mouvement des femmes de l’APR est à améliorer. « Je ne suis pas là pour faire le gendarme, je vois qu’elle fait son travail mais il y a beaucoup de manquements qu’il faut corriger. Le mouvement doit être plus dynamique » a-t-elle dit. Considérée comme un « pion » du Premier ministre Mimi Touré, elle a dégagé en touche cette affirmation. « C’est vrai que le premier ministre est mon amie, mais cela ne repose que sur le travail pour le parti. Elle ne connait pas chez moi, mais moi non plus je ne connais pas chez elle. Je ne cherche à remplacer personne, les seules fois où l’on se voit c’est pour parler de l’APR".


L’ancien ministre de l’Energie a refusé de prendre une convocation qui lui a été servie par deux agents de la Dic au nom du juge du 3ème cabinet.
L’ancien ministre d’Etat chargé de l’Energie, du temps de Abdoulaye Wade, M. Samuel Sarr, a défié hier les autorités judiciaires. Il a refusé de déférer à une convocation du juge du Troisième cabinet, qui lui a été portée par deux agents de la Division des investigations criminelles. M. Sarr, qui a été cité dans des affaires concernant la gestion de la Société africaine de raffinage (Sar), pour lesquelles l’ancien Directeur général Carmelo Sagna a déjà été inculpé et placé sous mandat de dépôt, a toutefois indiqué qu’il ne faisait pas dans la bravade.

Membre de la Convergence des cadres républicains (Ccr), Me Bassirou Ngom déplore les divergences souvent notées entre les cadres de l’Alliance pour la République. Il estime qu’au moment où le président Sall est attaqué par ses adversaires, les cadres doivent le défendre.
« Les cadres doivent accompagner le président dans ses réformes. S’il y a des querelles entre les cadres, cela pose un problème. Le rôle des cadres doit être d’accompagner la politique du chef de l’Etat », a déclaré Me Bassirou Ngom, membre de la Convergence des cadres républicains, interrogé sur les récentes divergences notées chez les cadres de l’Alliance pour la République.
C’est dans le rythme de la musique sénégalaise puisque presque toutes les générations ont dansé sur le même tempo. Celui de la jalousie, de la médisance et autres calomnies. De tous les temps, ça a été « je t’aime, moi non plus » ou « ôte-toi de là que je m’y mette ». Dans un secteur où tout le monde aspire à la reconnaissance et à se faire une place au soleil, tous les coups sont permis et même les plus mortels.

Le chef de file de l’écurie Tay Shinger, Eumeu Sène, est sorti de son mutisme vendredi dernier lors de son face-à-face d’après combat contre Modou Lô. Ayant contracté une déchirure au moment du combat, il savait qu’il lui serait très difficile de battre Modou Lô. Il a soutenu n’avoir ni été trahi par ses proches, ni marabouté. Son adversaire était juste plus fort.
BLESSURE
« Certes je suis blessé, mais je ne marche pas avec des béquilles. C’est juste des rumeurs. Je rends grâce à Dieu, je vais très bien. Je suis parti ces derniers jours à l’hôpital pour me faire consulter car j’ai une déchirure contractée lors de la première action de mon duel contre Modou Lô.

L’information sur la décision du chef de l’Etat de ranger le dossier Sindiély Wade et Cie a fait sortir les prestataires du Fesman 3 de leurs gonds. Des entreprises sénégalaises en difficulté réclament encore leurs dus.
Alors que le chef de l’Etat Macky Sall a décidé d’«amnistier» Sindiély Wade, ancienne Déléguée général adjointe de la troisième édition du Festival mondial des arts nègres (Fesman 3), les prestataires de cette grande manifestation culturelle, dans la dèche,réclament leurs sous. Plusieurs entreprises tirent la langue à cause de leurs créances non recouvrées. Des dizaines d’emplois ont été perdues. C’est le cas de la société Sg Productions, spécialisée en sonorisation.
L’Acte III de la décentralisation peut permettre l’avènement de véritables pôles de développement à condition de ne pas être sous-tendu par des motivations d’ordre politicien, de reposer sur un large consensus, voire d’être accompagné d’actes forts du pouvoir en place pour montrer qu’il ne s’agit pas d’une simple réformette. Voilà la conviction d’Albert Bourgi, professeur de droit à l’université de Reims et grand observateur de la scène politique sénégalaise. Invité de l’émission Objection de Sud Fm, il s’est longuement prononcé en outre sur la problématique des réformes institutionnelles, sur le report des élections locales et la question des candidatures indépendantes, voire sur la coalition présidentielle Bennoo Bokk Yaakaar qui a fini, selon lui, « de faire son temps ».

La rentrée politique du Garde des Sceaux ministre de la Justice Me Sidiki Kaba est le sujet qui alimente tous les débats dans cette partie orientale du pays. Prévue ce 8 février, tous les gros moyens sont déployés pour réserver au paladin des droits de l’homme, un accueil à la dimension de son rang.
Tambacounda vit déjà au rythme des campagnes électorales. En effet, Me Sidiki Kaba prépare sa rentrée politique prévue aujourd’hui. Et le sujet est au cœur de tous les débats dans la capitale orientale. Hier, au siège de l’Apr, qui ne désemplit plus depuis quelques jours, les responsables chargés de la communication ont fait face à la presse pour faire le bilan d’étape des préparatifs. Ils ont exprimé leur satisfaction relativement aux moyens mis à leur disposition pour l’événement.

C’est le 20 février prochain que la Cour suprême rendra sa décision sur la requête aux fins de mise en liberté provisoire introduite par les avocats de l’ex-conseiller en Technologies de l’information et de la communication (Tic) du Président Abdoulaye Wade, Thierno Ousmane Sy. Le juge de la juridiction du second degré compte se pencher, d’ici deux semaines, sur la requête des conseils de l’ex-conseiller de l’ancien chef d’Etat.
Le recours des avocats de Thierno Ousmane Sy avait pourtant eu l’effet escompté devant le juge de la Chambre d’accusation. Mais, le procureur général près de la Cour d’appel de Dakar avait introduit un pourvoi contre ce premier verdict de la Chambre d’accusation favorable à une liberté provisoire du fils de l’ancien ministre de la Justice. De là, les avocats du mis en cause n’avaient pas hésité à user d’une autre voie de recours. C’est ainsi que les conseils de l’ex-conseiller de Abdoulaye Wade en Tic se sont rabattus sur la juridiction du second degré, notamment la Cour suprême. Une énième demande qui suscite beaucoup d’espoir de la part des avocats de la défense.

DAKARACTU.COM Le Parti pour la Vérité et le Développement (PVD) change de dénomination et devient « JAMMA GËN AY » ce qui traduit du wolof nous donne à peu près (La Paix vaut mieux que la guerre). C’est en effet un communiqué du parti qui nous l’annonce. « Sous la direction du président fondateur du PVD, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké, le Bureau politique informe que le parti de la vérité pour le développement se dénomme désormais JAMMA GËN AY» note la déclaration. Selon toujours la commission communication du parti la demande de changement de dénomination, formulée auprès des autorités compétentes du ministère de l'intérieur a était accordée et délivrée à la date du 30 Janvier 2014 sous le récépissé N°: 000702.

Abc-Macky Sall la rupture à ... Fleurets Mouchetés
La mort de la belle-mère et du beau-frère et les condoléances de Macky Sall à son ami Alioune Badara Cissé (Abc) n'ont pas permis de régler le différend né entre les deux hommes, bien au contraire. Si elles gomment l'animosité en ce qu'elles nous renvoient au Créateur et à la vanité de l'homme sur terre, les propos courtois du 3 février dernier n'aident en rien à lever l'équivoque, si les mots ont un sens : "Je n'ai rien contre Alioune Badara Cissé ; je ne lui souhaite que du bien" n'a rien d'une ouverture, d'une invite à une remise à plat du cas Abc exclu des instances dirigeantes de l'Alliance pour la République dont il reste un simple militant de base, ce qui semble suffire à son bonheur, selon la sagesse philosophique de l'exclu, partenaire majoritaire selon ses dires.

DAKARACTU.COM De bonnes sources, nous sommes en mesure de révéler que le guide des Thiantacounes a quitté le sol ferme de Dakar. En effet, Cheikh Bethio a voyagé hier soir pour le continent européen, précisément pour la France. Car toujours selon nos informateurs, il sera d'abord dans la capitale française pour un suivi médical. Aussi, est-il prévu d'autres rendez-vous, notamment à Bordeaux auprès de son cardiologue traitant, le cardiologue, Dr Khadim Ngom, lequel, pour ceux qui l'ignorent encore est son disciple.
Kémi Séba s’excuse face à son comportement avec Fou-Malade « Je n’ai pas pensé aux téléspectateurs »
Paix à tout mes frères et sœurs de luttes, de couleurs, ou de douleurs.
D’emblée, je tiens à m’excuser auprès des téléspectateurs pour ce piètre spectacle audiovisuel auquel nous nous sommes livrés cette semaine, fou malade et moi même dans ce « clash » (même ce terme est enfantin) s’étant déroulé dans l’émission où je suis chroniqueur depuis la rentrée, à savoir le GRAND RENDEZ VOUS (2STV).
Un Homme véridique doit savoir reconnaître ses erreurs quand erreur il y a (et ceux qui me connaissent réellement savent que je n’hésite JAMAIS à me remettre en question). Mon erreur FONDAMENTALE a été d’abandonner mon costume de chroniqueur pour accepter de me disputer avec le frère de manière inaudible.